chasteté; BÉTÉ BÉTÉ – Saison 2 – Episode 7 **VOSTFR**

BÉTÉ BÉTÉ - Saison 2 - Episode 7 **VOSTFR**

Du nouveau sur le thème «chasteté» : Visionnez cette vidéo sur YouTube

Publication sur le thème « chasteté » par EvenProd

Sur YouTube, publié par EvenProd (), cette vidéo offre un angle nouveau dans le thème « chasteté ».

La plateforme YouTube regroupe toute sorte d’informations et de vidéos, avec des critiques détaillées, des présentation de thématiques et des analyses approfondies de la société.

La vidéo présentait déjà plusieurs interactions au moment où nous l’avons observée (). Le compteur de Likes indiquait: 92439.

La durée (00:56:04s), le titre (BÉTÉ BÉTÉ – Saison 2 – Episode 7 **VOSTFR**), fournis par l’auteur sont des éléments à noter, ainsi que la description :« ** Abonnez-vous ici https://goo.gl/mme9BS **
Prêt.e à replonger dans l’univers BÉTÉ BÉTÉ, au cœur de familles Gueer, Guewel, Teug ou Laobé ? Suivez la saison 2 de BÉTÉ BÉTÉ avec un nouvel épisode chaque lundi et jeudi 20h30 UTC.
#betebete #saison2 #episode7 #legsdusang #evenprod #creationoriginale #team221

** Abonnez-vous ici : https://goo.gl/mme9BS **
Réalisé par Ibou Gueye (Sénégal, décembre 2024)
Une production EVEN PROD SENEGAL : +221 33 868 27 26

** Devenir annonceur ? Contactez notre service commercial **
Evenprod +221 77 422 70 41

* Retrouvez Evenprod sur les réseaux sociaux*
TikTok https://www.tiktok.com/@evenprodsenegal
Instagram https://www.instagram.com/evenprodsenegal
Twitter @evenprodsenegal
Facebook https://www.facebook.com/evenprodsenegal ».

Le player de la vidéo est situé juste en dessous



Comment se déroule le fonctionnement d’une cage de chasteté ?

Le fonctionnement d’une cage de chasteté, bien que simple, repose sur une méthode de confinement sécurisée. Instructions pour la mise en place d’une cage de chasteté : Pour commencer, l’utilisateur place l’anneau de base autour de la base du pénis et le place derrière les testicules. Ensuite, le tube (plus ou moins long) est positionné sur le pénis, qui est inséré à l’intérieur de la cage. Assurer la sécurité : Les tiges de connexion, insérées une fois le tube en place, relient l’anneau de base à la cage. Le dispositif est sécurisé en utilisant le verrou. Le verrouillage avec le verrou permet à la cage d’exercer son rôle de prison, empêchant son retrait à moins que la clé ne soit utilisée.

L’homme et la chasteté : un chemin à suivre.

La pratique de la chasteté chez l’homme est largement répandue. À notre époque, la chasteté se vit dans la discrétion. Le thème de la chasteté des hommes est abordé en détailsur cette page ici www.chastete.fr/homme-chastete/. Cela masque la réalité : beaucoup d’hommes portent une cage de chasteté. Sous ses vêtements, l’homme porte un dispositif qui contraint son sexe. Cet accessoire interdit à l’homme de se masturber. Il n’est plus soumis à ses pulsions animales, mais aux directives d’un coach. Sans cet accessoire de chasteté, l’homme cède aisément à la masturbation. Cela est un comportement naturel. L’excitation est permanente chez l’homme dans le contexte moderne. Bien qu’il se concentre, l’homme est constamment exposé aux sollicitations publicitaires, cinématographiques, musicales et autres. Il n’a d’autre choix que de s’en remettre à une autorité supérieure qui gère son sexe et la rétention de sa semence. La maîtrise de la chasteté améliore la performance et la réussite des hommes. Qu’il soit sportif, étudiant ou cadre, sentir ses organes génitaux contraints par un accessoire crée un état psychologique distinct de celui causé par la libre masturbation ou la sexualité débridée.

L’utilisation et le port de la cage de chasteté :

Une fois en place, la cage de chasteté empêche toute érection complète et restreint l’accès au pénis. Cela permet de contrôler l’activité sexuelle de l’utilisateur, qu’il soit seul ou sous la supervision d’un partenaire. Pendant le port de la cage, garder une bonne hygiène est fondamental. La majorité des cages permettent la miction sans avoir à enlever le dispositif, mais il est essentiel de procéder à un nettoyage régulier pour prévenir les irritations ou infections. La cage ne peut être retirée qu’en utilisant la clé pour déverrouiller le mécanisme et enlever l’anneau de base ainsi que le tube. Après chaque utilisation prolongée, il est conseillé de vérifier la condition de la peau et la circulation sanguine. Une cage de chasteté est un dispositif élaboré mais efficace pour ceux qui choisissent la chasteté. En comprenant bien ses parties et en l’utilisant correctement, il est possible de l’intégrer confortablement et en toute sécurité dans sa vie personnelle ou en couple.

Pour quelles raisons porter une ceinture ou une cage de chasteté ?

La ceinture de chasteté est employée pour plusieurs raisons. Certains la voient comme un moyen d’améliorer la discipline et de réguler la sexualité masculine (érection, masturbation, etc.). Elle est parfois utilisée pour amplifier l’excitation lors de jeux sexuels impliquant la domination. Elle peut aussi être considérée comme un outil de préservation de la fidélité au sein du couple, rendant toute infidélité physique impossible. Ce dispositif peut être considéré comme une forme de défi où la restriction et l’attente exacerbent l’excitation et le désir.

Quel est le processus pour sélectionner la taille adéquate d’une cage de chasteté ?

Des précautions particulières doivent être observées lors de l’emploi d’une ceinture de chasteté. Pour éviter les infections, il est essentiel de maintenir une hygiène rigoureuse. Le retrait régulier de la cage permet de contrôler l’état de la peau et d’effectuer un nettoyage complet. Il est important de maintenir une bonne communication avec le coach pour garantir que la pratique se passe bien, son expérience permettant d’anticiper les changements.

Quels sont les différents composants d’une cage de chasteté ?

Une cage de chasteté est un dispositif dont le but est de bloquer l’accès au pénis, généralement utilisé pour modérer le plaisir sexuel masculin ou pour renforcer la discipline. Voici les parties fondamentales d’une cage de chasteté : Le tube, qui peut aussi être appelé cage, est la composante principale du mécanisme. C’est dans cette partie que le pénis est contenu. Le tube est souvent façonné pour s’ajuster à la forme du pénis au repos, assurant un maintien confortable mais limité. Les tubes peuvent être constitués d’acier, de plastique ou de silicone, chaque matériau ayant des avantages spécifiques en qualité, confort, sécurité et hygiène. L’anneau de base est une composante clé du mécanisme. Il se place en cercle autour de la base du pénis et derrière les testicules. Il se relie au tube pour maintenir la cage en place et empêcher tout retrait non autorisé. Les anneaux sont disponibles en tailles variées pour un ajustement confortable à l’utilisateur, sans exercer une pression trop importante. Le verrou fixe la cage à l’anneau de base. Il existe une gamme de verrous, des cadenas métalliques aux dispositifs de verrouillage en plastique. Une fois verrouillé, le dispositif ne peut être retiré sans la clé, garantissant que l’utilisateur reste dans l’état de chasteté désiré. Les tiges de connexion, parfois désignées comme espaçeurs, servent à relier l’anneau de base au tube. Elles ajustent la distance entre l’anneau et la cage, permettant un ajustement sur mesure pour plus de confort. Ces espaçeurs sont souvent proposés en diverses longueurs pour permettre un réglage optimal selon la morphologie individuelle. Il est important de prendre plusieurs mesures, telles que la longueur de la verge et les diamètres de la base du pénis, pour un bon ajustement. Des ailettes anti-recul, qui sont de petites extensions internes, sont parfois ajoutées aux cages de chasteté pour éviter tout mouvement arrière du pénis. Grâce à cette fonctionnalité, la sécurité du dispositif est accrue, rendant le retrait du pénis plus complexe.

Quels sont les impacts positifs de la chasteté?

La chasteté, lorsqu’elle est soutenue par des dispositifs comme les cages de chasteté, procure des avantages personnels et relationnels. Sur le plan personnel, la chasteté permet de développer une plus grande maîtrise de soi, favorisant ainsi une meilleure concentration sur d’autres aspects de la vie. En pratiquant la chasteté, l’attente et le désir sont amplifiés, rendant les instants d’intimité encore plus vibrants. Au sein d’un couple, la chasteté a le potentiel de renforcer la communication et la proximité. En adoptant des formes d’affection non sexuelles, les couples peuvent redécouvrir de nouvelles façons de se connecter émotionnellement pour approfondir leur relation.

Comment la pratique de la chasteté peut-elle transformer la dynamique d’une relation amoureuse ?

La chasteté peut exercer une influence marquante sur la relation amoureuse. La chasteté favorise la découverte de nouvelles formes d’intimité, renforçant ainsi la confiance et la communication entre partenaires. Pour certains couples, elle ajoute un niveau de complicité et d’excitation, en transformant la sexualité en un terrain de jeu plus vaste et plus créatif. Si elle est bien gérée, la chasteté peut être un outil puissant pour fortifier les liens et explorer de nouvelles dimensions de la relation.

Si vous souhaitez regarder la vidéo directement sur YouTube, cliquez sur ce lien :
la publication originale: Cliquer ici

#BÉTÉ #BÉTÉ #Saison #Episode #VOSTFR

Retranscription des paroles de la vidéo: Je vais embaumer ces perles. Les Laobés devront perpétrer une chorégraphie endiablée avec leurs derrières galbées. Je leur donnerai des perles de reins. Je devais inviter papa Loukoum. Si ma souvenance est bonne, je n’ai jamais vu l’esquisse d’un évènement aussi bien organisé ! As-tu remarqué l’odeur envoutante qui embaume cette maison ? – Le doux parfum à la senteur de melon a déjà commencé à chatouiller mes narines. C’est mon préféré. – Je suis la meilleure. Je le confirme, tu es la meilleure. C’est à mon tour d’organiser une entrevue familiale, donc je veux qu’on en parle comme un évènement mnémonique. Et comment ! Tu es vraiment sérieuse ? Bien sûr. Le Sénégal n’est pas l’apanage des Ndiaye ! Tu as raison. – Comme le Sénégal n’est l’apanage de personne je lui gratifie mon nom de famille ! La balle est dans ton camp. Fais ce qui te plaît. J’ai envie d’un bon Mbakhal (riz pateux) au filet d’agneau. Ne t’inquiète surtout pas, ce sera exquis, rempli d’ingrédients savoureux. Tu veux de l’ambiance ? Bien, tu vas être servi ! Tu remueras tes fesses aujourd’hui, non ? Donne-moi un petit aperçu. Tu n’es manifestement pas capable de réaliser cette danse. Tu dois plutôt bouger ton postérieur. Pourtant je danse bien. – Tu ne sais vraiment pas le faire. Je comprends mieux pourquoi Idy t’a répudiée. Tu n’es vraiment pas coquine. Tu es insipide ! Ça suffit ! Tu as tendance à extrapoler. Que fait Idy dans cette discussion ? Je ne veux pas qu’on parle de lui ! – Je suis désolée. De plus, je le considére comme décédé. Je souhaite que ma fête soit mnémonique, alors je m’efforcerai d’éviter les disputes. Essaye ces perles de reins pour voir. Bocar c’est à toi que je parle, non. Laisse-moi au moins m’installer avant de me parler. Depuis, je n’ai cessé de te téléphoner, en vain, car tu évites mes appels, sans savoir s’ils sont importants. Vous nous appelez souvent au téléphone en prétendant que c’est important, alors que vos appels ne concernent généralement que l’achat de pain ou de lait corporel. Je ne t’ai pas appelé pour ça. – Ah bon ? Salimata a défrayé la chronique ! – Ça veut dire quoi ? – Elle s’est donnée à Paco. Que vais-je dire à ma famille ? Il m’est maintenant impossible d’organiser une cérémonie qui témoigne de sa chasteté ? Réagis et cesse de réfléchir, nous sommes dans de beaux draps ! Bonjour. Bonjour. – Bonjour. Bienvenue, tata. – Tu m’as manqué. – Tu m’as manqué aussi. Tu vas bien ? – Comment va la famille ? – Tout le monde va bien. – Le tour de famille est un moyen de regrouper tout le monde. Je suis déçue par toi. – Qu’ai-je encore fait ? -Tu ne m’as pas rendu visite depuis un moment. Nous habitons presque près l’une de l’autre, pourtant tu restes longtemps sans venir me voir. Tu as raison, j’ai eu tort. Ne reconnais-tu pas Deguene ? Bien sûr que je la reconnais, je l’ai tenue dans mes bras quand elle n’était qu’un bébé, au moment de son baptême. En fait, c’est plutôt elle qui ne me reconnaît pas. Ne dis pas ça, je suis simplement prise par mes multiples déplacements, mais je t’ai tout de même reconnue. Tu me reconnais vraiment ? – Bien sûr. – Alors dis-moi comment je m’appelle. – On t’écoute. C’est tata Taco. – Elle m’a entendu prononcer ton nom tout à l’heure. – Exactement. Bien que je ne viens pas te voir, mais je pense constamment à toi. J’ai vraiment l’impression de connaître cette fille qui est avec toi. Je ne sais pas d’où, mais je te reconnais. – Je travaille chez Marème Sall, c’est là-bas que vous m’avez reconnue. C’est la même qui est décédée récemment ? – Effectivement, c’est la maison où vous avez commis des déprédations. – Ne sois pas insolent, nous n’avons pas causé de dégâts ! – Audacieuse ! – Qui est-ce ? Calmez-vous ? Tu ne reconnais pas Nogaye ? De quelle Nogaye tu parles ? – Ma petite fille. Tu passais ton temps à la taper. -Sérieusement ? – Tu n’as même pas reconnu ta cousine. Quelle honte ! Ça fait plus de 15ans que je ne l’ai pas revue. C’est vrai, ça fait 15ans que tu n’es plus venue nous voir, c’est normal que tu ne la reconnaisses pas. Il est important de rester proche de sa famille. – Je ne peux qu’être d’accord avec toi. – Tu vas bien, Nogaye ? – Laissez-moi saisir la nouvelle. Elle fait partie de la famille ? Qui est-ce ? – Nogaye est sa fille. – C’est ma fille. – Qu’est-ce qu’elle fait alors chez Marème Sall ? Je travaille là-bas, je suis sa bonne. – C’est vrai. Une gentille Dame, d’ailleurs. – Attendez, un membre de ma famille travaille comme bonne chez Marème Sall, c’est ça ? Quel motif t’a poussée à accepter un poste aussi dérisoire ? Ce n’est vraiment pas digne d’une laobé ( bûcheronne) – Je parie que Marème Sall ne savait pas que tu es une laobé. Elle ne le sait pas, c’est vrai. – Pourquoi tu ne m’as rien dit de tout ça ? À partir d’aujourd’hui, elle ne travaillera plus là-bas, tata. J’ai assez d’argent pour m’occuper d’elle. – Nogaye tu ne travailleras plus là-bas. Je vais m’occuper ça. Une jeune femme de bonne famille doit demeurer auprès de sa mère jusqu’à ce qu’elle se marie. Il sera là demain. Elle a une fois de plus agi stupidement. Elle a envoyé une vidéo d’elle et de Paco à Aly Mamadou. – Sacrilège ! – Voici l’audacieux geste qu’elle a posé. En tout cas, je trouverai une solution que tu le fasses ou pas. J’ai même déjà trouvé une solution. On devrait l’accuser de viol. – Sacrilège ! – C’est la seule solution ! On ne pourrait pas faire ça. – Je persiste, il faut l’accuser de viol. Ma fille est encore une gamine, il l’a détournée et l’a violée. Quel serait ton choix entre mentir et le maintien de l’estime de soi ? – Je choisirais évidemment de préserver mon honneur. – Tu me rejoins alors. Je continue d’insister : il sera accusé de viol et de détournement. Je vais trouver une solution ou perpétrer la mienne. Si Aly Mamadou vient, je lui raconterai toute l’histoire en détails, sans rien omettre. – C’est à toi que je m’adresse. Reviens. Reviens par là ! Où comptes-tu aller ? Pourquoi me poses-tu cette question ? Tu devrais rester sur la porte et attendre qu’on t’invite à entrer. J’ai sonné et personne n’est venue m’ouvrir. La porte était ouverte, je suis alors entrée. D’accord, mais tu devrais attendre que quelqu’un te fasse entrer. Il semble que tu dois t’occuper de quelque chose d’important, alors qu’en réalité, ce n’est pas le cas. – Je ne vais pas rester là à t’écouter. – Attends Diouma. Sache que les règles ont changé dans cette maison. Qu’est-ce que tu racontes ? C’est chez mon père ici. Oui et après ? – Tu ne devrais pas alors m’empêcher d’entrer ! Que ça ne se reproduise plus ! – C’est parce qu’on m’a donné des consignes strictes ! Ils m’ont demandé de ne laisser entrer aucun Nieño (bûcheron, forgeron, griot, orfèvre.) Tu exagères ! La ferme ! Un simple gardien et tu oses me parler ainsi ! Que se passe-t-il encore ? – Effronté ! Elle voulait entrer. – Oui et après ? – Je lui ai alors expliqué que tu m’avais demandé de refuser l’entrée à tous les Nieños. Oui, mais elle n’en fait pas partie. Ne la reconnais-tu plus ? Je la reconnais bien sûr. – Qui est-ce alors ? Qui est sa mère ? C’est qui son père ? – Bah, c’est toi. Assieds-toi. Diouma, tu n’es pas du genre agressive. Tu ne parles même pas beaucoup. Là je te retrouve en train de te disputer avec Dame. Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu n’es pas comme ça. Je ne comprends plus rien. Tu m’as demandé à ce qu’aucun Laobé, ni Nienio ne mette les pieds ici. Alors pourquoi elle ferait l’exception ? Tu ne me laisses pas jouir de mes prérogatives ! Tu m’as expressément demandé de ne pas laisser entrer un Nieñio. Elle en est une pourtant. Elle ne devrait pas faire l’exception ! Comment puis-je m’assurer du respect de ces consignes ? Laisse-moi assumer mes responsabilités. Arrête de pleurer, Dieynaba. Ça ne résoudra rien. J’imagine bien combien tu dois souffrir, mais c’est ton destin et tu n’y peux rien. Sois forte. Tout ce qui m’arrive en ce moment est une résultante de ton conflit avec Marème Sall. Cela a coûté la vie à mon enfant. Ne dis pas ça. Je voulais juste te protéger, car tu es ma fille. C’est la raison pour laquelle j’ai agi ainsi. Cela me bouleversait de constater la manière dont Marème Sall te traitait, quand elle était encore en vie. J’ai juste agi ainsi pour te protéger. – Il y a des manières de le faire, maman. Tu te disputais tout le temps avec elle. Il existe certaines circonstances qui peuvent être résolues sans nécessiter de conflit. Tu continues à être fidèle à ta relation conjugale, dépitant les épreuves et je souhaitais emprunter une trajectoire similaire pour mon ménage. Le mariage est la meilleure chose qui soit. Ce qui t’intéressait, c’était d’avoir le dernier mot. Tu dois dépasser ça. A une mère insoumise une postérité fourvoyée ! J’ai toujours été une bonne femme pour ton père. J’ai toujours été à ses côtés. Si tu avais été une meilleure épouse, papa n’aurait pas eu à se remarier avec d’autres femmes. Je m’excuse, maman, mais tu te montres trop agressive. Tu es toujours dans le tort. De surcroît, tu interviens dans des affaires qui ne te concernent pas. Si la paix régnait dans cette maison, papa serait resté. Quel que soit son caractère, il chérit profondément sa famille. Il est aussi très loyal. J’aimerais vraiment que tu changes. Je n’arrive plus à contenir ma frustration, elle est insoutenable. Je crois comprendre que tu me désignes comme la fautive dans cette histoire ? – Je me garderai de t’accuser, mais j’espère sincèrement qu’un changement s’opérera. J’ai bien compris. Je suis fatiguée, j’aimerais me reposer. Tu dois vraiment changer. – Qu’est-ce que tu fais ici ? – Pourquoi me parles-tu sur ce ton ? Si tu le souhaites, nous pouvons continuer notre conversation à l’extérieur, comme à notre habitude. Je n’ai rien dit de mal. C’est juste que je vois que tu ne vas pas bien. Je sais que si tu es venue jusqu’ici, c’est parce que c’est important. Je voulais juste savoir ce qui se passe. Qu’est-ce qui t’arrive ? Puis-je te poser une discussion ? – Vas-y. Est-ce que tu m’aimes réellement ? – Cette interrogation est superflue. Tu es mon joyau, mon ainée. Bien sûr que je t’aime. Je ne pense pas que tu me considères comme quelqu’un d’important. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi tu n’as pas cherché à me retrouver quand j’étais disparue, alors que tout le monde le faisait. Tu ne m’as même pas appelé au téléphone pour savoir où j’étais Je peux certainement apporter quelques éclaircissements à ce sujet. C’est parce que à chaque fois que ton grand-père vient chez moi, c’est pour me créer des déconvenues. Quand il est venu ici, je pensais que c’était juste par curiosité. Qu’il désirait savoir ce qu’était la vie après la mort de Marème Sall. Je ne croyais pas que tu avais disparu. De plus, ce comportement ne te ressemble pas. Peu importe les difficultés que tu rencontres, tu ne devrais jamais fuguer, mais plutôt faire face à tes problèmes. Tu as eu vraiment tort. Pourquoi as-tu fugué ? – C’est de leur faute. J’ai découvert récemment l’existence d’une sœur jumelle, qui m’a été dissimulée pendant plus de deux décennies. Qu’est-ce que tu racontes ? De quoi tu parles ? Je pense que tu es perturbée ces derniers temps. J’aimerais t’emmener voir mon ami médecin, Cheikh Saadbou Diop, ou même, je te conduirai chez Cheikh Mbacké Laye pour qu’il prie pour toi. Je pense que tu en as besoin. Arrête de pleurer, toi aussi. Je n’aime pas te voir dans cet état. Ce n’est pas bien que tu te mettes dans cet état. As-tu mangé ? J’aimerais que tu te ressaisisses. C’est ton destins et tu n’y peux rien. De nombreuses femmes n’ont pas eu la possibilité de donner la vie, mais tu as eu cette chance, même si cela s’est terminée par une fausse couche. Tu dois être résiliante. Au moins, tu es en vie. Je ne veux pas te voir dans cet état. Lève-toi. Tes larmes ont gonflé ton visage. Tu te fais du mal. Papa, je souffre. – Dis-moi ? Je voulais que mon enfant, ton premier petit fils porte ton nom. En raison des coups de Makhou, j’ai fait une fausse couche et le médecin me l’a confirmé. Concernant Makhou ne t’inquiète pas, j’en fais une affaire personnelle. Cependant, tu dois remercier le Seigneur de t’avoir gardé en vie. Tu es jeune, plein d’avenir. Un jour, tu auras peut-être un fils qui portera mon nom, comme tu le désires. Je n’aime vraiment pas te voir pleurer. Je vais te laisser te reposer, je vais retourner dans mon appartement. Je vais appeler pour voir si tu as mangé. Je ne peux pas te voir dans cet état. Ne pars pas, papa. Ne me laisse pas seule. Tu es tout pour moi. Je ne cesse de te le répéter. Je t’en conjure, reviens, juste pour moi. Ne t’attarde pas sur les comportements de maman et pardonne-nous. On en reparlera quand tu seras en bonne forme. Je t’appellerai et on continuera la discussion. Tu penses vraiment que je suis folle ? Tes actions ne me disent pas le contraire. Je vais t’emmener voir Cheikh Mbacké pour qu’il prie pour toi. Tu penses que je suis folle ? Qu’est-ce qu’elle fiche ici ? Qu’est-ce qu’elle fiche ici ? Salue d’abord. – Je ne le ferai pas ! Qu’est-ce qu’elle fait ici ? Sa mère n’a pas une dent contre la mienne mais plutôt tout une mâchoire ! Alors elle n’a rien à faire ici ! Vous les Nieños devraient rester chez vous ! C’est à moi que tu t’adresses ainsi, Amina ? Y a-t-il une autre Diouma ici ? Arrête de jouer à l’innocente. C’est bien à toi que je m’adresse ! Tu ne fais pas partie de notre famille ! Reste chez toi !Tu n’es qu’un enfant illégitime ! Répète ce que tu viens de dire ! Quelle impolitesse, Amina ! Que ça ne se répète plus, sinon je vais te casser la gueule ! Que penses-tu vouloir faire, papa ? Tu sais qu’elle souffre déjà et tu en rajoutes ! Je ne te permets pas de crier sur ma sœur ! Tu oses m’affronter ! Si tu répètes ce qu’elle vient de dire, je te casse la gueule ! Bande d’impolis ! Si tu pars et que je meurs, il est inutile de verser des larmes, car ce sera ta décision qui aura causé ma perte. – Tu m’auras abandonnée. Ne fait pas ça ! – Ne dis pas ça ! Je ne t’abandonnerai jamais. Tu es mon amie. Je consacre ma vie à ton bonheur. Je n’ai plus personne, à part toi. Ne te mets pas dans cet état ! Veux-tu que je meure ? Écoute-moi ! – Je me plierai à tes exigences, même si ça me déplait. – Je t’aime. Je le sais. Veux-tu que je reste dans cette maison ? Je vais regagner la maison. Ça te réjouit ? Vous commencez à dépasser les bornes. Tu te permets de nous insulter parce que ça fait plaisir à ces vauriens ? Je ne connais pas la teneur de leur conversation, mais je partage son avis. – Ma mère est morte par leur faute. – Ah oui ? Vraiment ? Tu aurais dû avoir honte de mettre les pieds dans cette maison ! – Éhontée va ! – Tu sais quoi ? Elle a les mêmes prérogatives que vous dans cette maison. C’est mon ainée. C’est votre grand-soeur, est-ce clair? – Elle a les mêmes prérogatives que vous. Arrêtez de parler ainsi ! – C’est notre maison. – C’est à elle de partir, pas à nous ! – Vous dépassez les bornes. – Nous sommes chez nous ici, c’est à elle de partir ! – Je n’ai pas l’impression que vous me respectiez. Je vous préviens que vous le regretterez. C’est la maison de notre mère. Si tu souhaites la rencontrer, rends-toi chez sa mère ! – C’est chez moi, ici. Ta mère n’a aucun droit sur cette maison ! – Allons-y ! Vous ne payez rien pour attendre. J’y vais. Où es-tu ? Tu m’invites au resto et tu oses arriver en retard. Je suis venue avant toi, alors que c’est moi l’invitée ! Je suis convaincue que tu es en retard parce que tu en train de te pomponner ! Si tu ne te présentes pas dans les prochaines cinq minutes, je m’en vais. Tu m’invites, mais c’est toi qui te permets d’arriver en retard. C’est pour cette raison que je n’aime pas sortir avec elle. J’aurais dû être au travail à l’heure actuelle, mais j’ai choisi de répondre à son invitation et maintenant elle a le culot d’arriver en retard. Je ne suis pas ton ennemie. J’ai privatisé ce restaurant uniquement pour discuter toi. Je voulais juste te parler. Accorde-moi juste cinq minute. Je n’ai rien à te dire. Je t’accorde juste cinq minutes, pas une seconde de plus ! Je pense que le moment est venu de nous entretenir franchement, loin de toute dispute. Je suis convaincue que tu penses qu’avec mes réactions, nous pouvons recoller les morceaux, mais laisse-moi te dire que ça n’arrivera pas. Nous deux, c’est fini. Tu mens. Tu te mens à toi même. Pourquoi te mets-tu en colère quand tu me vois alors ? Tu ne veux pas m’entendre dire que je t’aime. La dernière fois que je te l’ai dit, tu m’as giflé. Je ne vais pas le répéter. – Je te demande qu’une seule chose. Laisse-moi rattraper mes erreurs ! – Une faute n’est commise qu’une fois. Il ne nous reste plus que les documents du divorce à signer pour que la vie reprenne son cours. Tu veux qu’on divorce ? – Qui es-tu ? – Je suis Bocar Kane. C’est qui le petit tambour ? Qui ça ? – Celui qui ressemble à un batteur de tam tam. – Tout le monde le fait dans cette maison. C’est qui ? Est-ce que tu parles de notre « golden boy » ? Pourquoi veux-tu le voir ? Quoi ? Tu te crois où ? Laisse-moi gérer la situation ! – Tu es encore là ? – Je vais tuer ton fils. Tu mens. Qu’est-ce qui te prend ? Quoi ? C’est grave Il ment. Oui. – Oui. – Les choses ont changé. Tu n’es personne. Comment peux-tu, toi qui te prétends être un homme noble, accuser un Guewel de viol ? Tu n’es pas un noble. J’aurais aimé que ta femme soit là. Je suis venue chez toi, mais tu n’y étais pas. J’ai informé à ta femme que si votre fille parvient à séduire mon fils et qu’il le fait tomber enceinte, l’enfant ne sera pas reconnu. – Qu’il en fasse ce qu’il veut ! – Ma tante, laisse-moi lui dire deux mots ! – Vas-y ! – As-tu perdu la tête ? – Pourquoi ce tapage diurne ? – Bien ! Il ne peut pas la violer. Notre relation était fusionnelle ! J’ai tout donné pour toi. Souviens-toi de ces instants heureux ! Ne les mets pas aux oubliettes ! Je ne veux pas qu’on divorce. Notre relation était empreint de tendresse. -Je me disais que c’était la relation la plus idéale. – Ça l’était. C’était le parfait amour… Cependant, tu as tout gâché. Parce que tu es un imbécile et un clochard. Notre relation a pris fin lorsque tu as laissé certaines personnes s’immiscer dans notre foyer. Je ne te reconnaissais plus. Nous nous aimions tellement. Je partageais le même sentiment que toi. Tu m’as fait du mal. Contrairement à toi, je pense que ce n’est pas encore fini. Tu sais ce qui va nous arriver ? Le ressentiment ! La rancoeur de ne plus faire machine arrière ! Tu penseras à moi si tu te maries avec un autre et moi pareil. Nous pouvons l’éviter. C’est moi que tu aimes. C’est toi que j’aime. Recommençons à zéro. Je ne reviendrai pas sur ma décision. J’attends juste les papiers de divorce pour en finir une bonne fois pour toute. – Nous allons vous rendre la pareille. – Passe devant ! – Regarde-moi ! – Ne me parle pas ! Je te casserai la gueule si tu reviens dans cette maison. Aucune poigne ! Pourquoi se laisse-t-il dominer par sa femme ? Cependant, tata nous sommes dans de beaux draps. J’ai peur. – Tu m’appelles par mon prénom maintenant ? C’est parce que je suis prise de panique. – As-tu entendu ce qu’il a dit. Il n’y a pas de fumée sans feu. – Qu’est-ce que ça veut dire ? Je te le traduirai après. En langage plus clair, il ne serait pas venu ici, si Paco n’avait rien fait L’information est sans équivoque : s’il dit la vérité, Paco ne s’en tirera pas indemne. Le viol est un délit qui est sévèrement puni. Je ne suis pas dupe. Je connais Paco et je sais de quoi il est capable. – Appelle-le pour qu’il nous dise la vérité ! – Je ne l’ai pas éduqué ainsi. – Elle est vraiment très belle et il est impossible pour un homme de ne pas succomber à son charme. – Avec toutes ces valeurs qu’il a apprises, il n’oserait jamais faire ça. – C’est un homme après tout. C’est compliqué. Appelle-le pour qu’on le règle avant qu’ils ne fassent une autre descente. Je vais l’appeler. S’il l’a violé, il le regrettera amèrement. Viens ! – Ma mère veut que je marie avec Bigué. Elle dit que je suis un responsable. Je ne dois pas rester sans femme. Tu sais qu’elle a toujours voulu me caser avec elle, mais je ne l’aime pas. C’est toi que j’aime. Sauve-moi ! C’est pas si difficile que ça. C’est une bonne nouvelle. Oui. Retourne avec les gens de ton caste. Quand tu ne sais pas où tu vas retourne d’où tu viens car le passé est la rampe de lancement vers le présent ! Écoute ! Fais de moi la belle-soeur d’honneur ! N’en fais rien ! Emmène-la moi pour que je la forme. Je lui apprendrai à valoriser ses perles de taille, à remuer son post Tu n’aimes que les Laobés. As-tu un amant ? Tu as un autre homme dans ta vie ? Montre-moi ce froussard. Je vais lui casser la figure. Je suis un vrai homme. Tu es à moi. C’est fini. Ce corps ne t’appartient plus. Elle ne viendra pas. Ne lui en veux pas ! J’ai insisté pour qu’elle le fasse. Elle est gentille et c’est ton amie. Tu connais mon sobriquet. Bonjour ! Bonjour ! Je suis choquée. Qu’est-ce que tu fiches ici ? Tu oses venir ici après tout ce que tu as fait à Dieynaba ? Je suis ici pour voir Makhoudia Tall. Appelle-le s’il est là ! – Merde ! – Alkaly va lui casser la gueule. – Il est audacieux. – Éhonté va ! Tu es là ? Éhonté va ! – Casse-lui la gueule ! – Qu’est-ce que tu fiches ici ? – Qu’il meurt ! – Casse-lui la gueule ! – Relâche-le ! – Tu as de la chance. Je n’en ai rien à faire de votre cinéma là ! Est-ce clair ? Je t’avais dit que j’allais venir récupérer mon argent dans quelque jours. – Je suis venu pour ça. – Quel argent ? – Quoi ? – Je t’avais promis que je te le donnerais quand je l’aurais obtenu. – De quel argent il parle ? – Tu ne le sais pas ? Je ne te parle pas ! Tu es la source de tous nos problème. As-tu parlé à Daba Thiam ? Diouma est venue me voir pour me dire qu’elle avait une jumelle. Elle a perdu la tête. Je ne comprends plus. -Elle ne délire pas, elle dit la vérité : elle a une sœur jumelle. – Quoi ? – Daba Thiam me l’a dit elle-même. – Qu’est-ce qu’elle t’a dit ? La mère de Daba a donné l’autre jumelle sans en parler à personne. Pardonne-moi, mais arrêtez avec vos bêtises ! – Comment ça ? – Laisse-moi terminer ! Comment Daba a-t-elle pu ignorer qu’elle portait des jumeaux pendant neuf mois ? Elle l’a su après 20 ans ? On a donné la jumelle. Tu sais bien tout ce qui s’est passé. Tu sais tout de cette grossesse. Elle ne s’est jamais rendu à l’hôpital. Elle cachait sa grossesse. Tout le monde l’a su le jour de l’accouchement. L’as-tu oublié ? Je ne l’ai pas reconnue lorsqu’elle est venue chez moi. Elle pleurait toutes les larmes de son corps. Elle ne le savait pas. Ça ne tient pas la route. Si tu veux les croire, vas-y fais-le. Je n’ai pas la tête à ça. Je songe à la dette de Marème Sall et aux modalités de remboursement. Tu as l’audace de venir chez moi pour réclamer un remboursement à mon père ? Éhonté va ! Ton père n’oserait jamais venir se faire rembourser par mon père. Mon père a tout fait pour ton père. Tu n’as aucune classe. Mon père a tout accepté pour vous. Il t’a accordé ma main, j’ai tout enduré pour toi. – Je ne te croyais pas capable de ça. – Papa, est-ce vrai ce qu’il vient de dire ? Je me suis occupée de toi. Tu m’as déçue. – Ton père ne viendra jamais se faire rembourser. – Ne fais pas ça ! Vous nous devez beaucoup. Tu veux humilier mon père. – Il ne pourrait pas l’humilier. – Tu m’as déçue. Tu es encore malade. – C’est bien toi ? – Vous nous devez de l’argent, alors remboursez et arrêtez de jouer aux vistimes. Nous allons te rembourser ton argent. Je ne veux pas vous devoir quelque chose. Tu sais quoi ? Qui nous prête de la hideur se verra rembourser une immondice ! Nous allons te rembourser ton argent, il n’y a pas de problème, mais sache que nous allons porter plainte contre toi. Tu as frappé ma fille si fort qu’elle a fait une fausse couche. Tu vas le payer ! -Tu seras derrière les barreaux ! – Pas la peine, laissez-moi lui refaire le portrait ! Vas-y parle ! Tu m’as frappée jusqu’à ce que je fasse une fausse couche. Estime toi heureux, si ce n’était elle, je t’aurais déjà cassé la figure. – Tu le regretteras. Je vais porter plainte contre toi. Comme tu ne montres aucun attachement. – Nous allons porter plainte. Tu aurais dû consulter ton père avant de venir, tu vas le regretter amèrement ! Sors de cette maison ! Dehors ! Sors ! – Dehors ! Allons-y ! – Viens ! Éhonté va ! Il nous met toujours dans l’embarras ! Tu devrais aller retrouver Makhou et lui demander pardon. – Tu es en tort. Tu lui as proféré des injures. – Pardon ? Tu veux que j’aille le retrouver ? – Oui. – Pour lui demander pardon ? – Oui. – Tu veux que je le fasse après tout ce qu’il m’a fait ? – Il ne t’a rien fait. Si tu parles de ce secret, tu sais très bien que c’est Fatim Thiam qui l’a révélé. En guise de piqûre de rappel. Makhoudia a toujours été là pour toi. Ton épouse était au bord de la mort et il lui a donné l’un de ses reins. Personne ne l’aurait fait. Tu crois qu’il n’a rien fait de mal ? Tu te permets de le défendre ? Tu sais quoi ? Je te conseille de demander le divorce. – C’est fini entre vous. – Il n’en vaut pas la peine. – Je ne le ferai pas. – Ah bon ? Je reste avec lui que tu le veuilles ou non. Je ne divorcerai pas pour te faire plaisir. Si tu veux m’abandonner parce que je suis avec lui, alors, libre à toi. Ah bon ? Sache que ton absence ne nous affecte pas, chère Oumou Khaîri ! – Elle m’a appelée par mon prénom ? – Laisse-moi finir, papa ! – Est-ce bien toi ? – Oui. – Tu ne m’appelles plus tata tante ? Quoi ? Tu ne le mérites pas. Je ne vais plus le faire. Tu sais quoi ? Regarde-moi quand je te parle. Laisse-moi ! Regarde-moi ! Tu sais quoi ? Tu veux que Daba se marie avec mon père, mais ça n’arrivera jamais. Je préfère mourir que de voir ça. Tu n’as jamais aimé ma mère. Tu faisais semblant. Écoute-moi ! Tu peux me traiter de tous les noms. C’est comme ça que tu me traites ? – Oui. À partir d’aujourd’hui, nous ne laisserons personne salir la réputation de ma mère. Que ça soit toi ou un autre, est-ce clair ? Je suis en phase avec mon père. Il sait ce qu’il fait. Quant à toi, Oumou Khairy, tu peux même arrêter de venir chez nous. Nous n’avons plus besoin de toi. Est-ce clair ? Ce n’est pas la peine. Ne me regarde pas ! As-tu vu ce que tu as créé ? – Je te jure que tu vas le regretter. – C’est de ta faute. Je m’en fous. .

Image YouTube

Déroulement de la vidéo:

766 Je vais embaumer ces perles.
766 Les Laobés devront perpétrer une chorégraphie endiablée avec leurs derrières galbées. Je leur donnerai des perles de reins. Je devais inviter papa Loukoum.
766 Si ma souvenance est bonne, je n&;ai jamais vu l&;esquisse d&;un évènement aussi bien organisé !
766 As-tu remarqué l&;odeur envoutante qui embaume cette maison ?
– Le doux parfum à la senteur de melon a déjà commencé à chatouiller mes narines.
766 C’est mon préféré.
– Je suis la meilleure.
766 Je le confirme, tu es la meilleure.
766 C’est à mon tour d’organiser une entrevue familiale,
donc je veux qu’on en parle comme un évènement mnémonique.
766 Et comment !
766 Tu es vraiment sérieuse ?
766 Bien sûr.
766 Le Sénégal n&;est pas l&;apanage des Ndiaye !
766 Tu as raison.
– Comme le Sénégal n&;est l&;apanage de personne je lui gratifie mon nom de famille !
766 La balle est dans ton camp.
Fais ce qui te plaît.
766 J’ai envie d&;un bon Mbakhal (riz pateux) au filet d&;agneau.
766 Ne t&;inquiète surtout pas,
ce sera exquis, rempli d’ingrédients savoureux.
766 Tu veux de l’ambiance ?
Bien, tu vas être servi !
766 Tu remueras tes fesses aujourd’hui, non ?
Donne-moi un petit aperçu.
766 Tu n’es manifestement pas capable de réaliser cette danse.
Tu dois plutôt bouger ton postérieur.
766 Pourtant je danse bien. – Tu ne sais vraiment pas le faire.
Je comprends mieux pourquoi Idy t’a répudiée.
766 Tu n’es vraiment pas coquine.
Tu es insipide !
766 Ça suffit !
766 Tu as tendance à extrapoler.
Que fait Idy dans cette discussion ?
766 Je ne veux pas qu’on parle de lui !
– Je suis désolée. De plus, je le considére comme décédé.
766 Je souhaite que ma fête soit mnémonique, alors je m’efforcerai d’éviter les disputes. Essaye ces perles de reins pour voir.
766 Bocar c’est à toi que je parle, non.
766 Laisse-moi au moins m’installer avant de me parler.
766 Depuis, je n’ai cessé de te téléphoner, en vain, car tu évites mes appels, sans savoir s’ils sont importants.
766 Vous nous appelez souvent au téléphone en prétendant que c’est important, alors que vos appels ne concernent généralement que l’achat de pain ou de lait corporel.
766 Je ne t’ai pas appelé pour ça.
– Ah bon ?
766 Salimata a défrayé la chronique !
– Ça veut dire quoi ? – Elle s&;est donnée à Paco.
766 Que vais-je dire à ma famille ?
766 Il m’est maintenant impossible d’organiser
une cérémonie qui témoigne de sa chasteté ?
766 Réagis et cesse de réfléchir,
nous sommes dans de beaux draps !
766 Bonjour.
766 Bonjour.
– Bonjour.
766 Bienvenue, tata. – Tu m’as manqué.
– Tu m’as manqué aussi.
766 Tu vas bien ? – Comment va la famille ? – Tout le monde va bien.
– Le tour de famille est un moyen de regrouper tout le monde.
766 Je suis déçue par toi. – Qu’ai-je encore fait ?
-Tu ne m’as pas rendu visite depuis un moment.
766 Nous habitons presque près l’une de l’autre,
pourtant tu restes longtemps sans venir me voir.
766 Tu as raison, j’ai eu tort.
766 Ne reconnais-tu pas Deguene ?
766 Bien sûr que je la reconnais, je l’ai tenue dans mes bras quand elle n’était qu’un bébé, au moment de son baptême. En fait, c’est plutôt elle qui ne me reconnaît pas.
766 Ne dis pas ça, je suis simplement prise par mes multiples déplacements, mais je t’ai tout de même reconnue.
766 Tu me reconnais vraiment ? – Bien sûr.
– Alors dis-moi comment je m’appelle. – On t’écoute.
766 C’est tata Taco.
– Elle m’a entendu prononcer ton nom tout à l’heure. – Exactement.
766 Bien que je ne viens pas te voir,
mais je pense constamment à toi.
766 J’ai vraiment l’impression de connaître
cette fille qui est avec toi.
766 Je ne sais pas d’où, mais je te reconnais.
– Je travaille chez Marème Sall, c’est là-bas que vous m’avez reconnue.
766 C’est la même qui est décédée récemment ?
766 – Effectivement, c’est la maison où vous avez commis des déprédations. – Ne sois pas insolent, nous n’avons pas causé de dégâts ! – Audacieuse ! – Qui est-ce ?
766 Calmez-vous ?
Tu ne reconnais pas Nogaye ?
766 De quelle Nogaye tu parles ?
– Ma petite fille.
766 Tu passais ton temps à la taper.
-Sérieusement ? – Tu n’as même pas reconnu ta cousine. Quelle honte !
766 Ça fait plus de 15ans que je ne l’ai pas revue.
766 C’est vrai, ça fait 15ans que tu n’es plus venue nous voir,
c’est normal que tu ne la reconnaisses pas.
766 Il est important de rester proche de sa famille. – Je ne peux qu’être d’accord
avec toi. – Tu vas bien, Nogaye ? – Laissez-moi saisir la nouvelle.
766 Elle fait partie de la famille ? Qui est-ce ? – Nogaye est sa fille.
– C’est ma fille. – Qu&;est-ce qu&;elle fait alors chez Marème Sall ?
766 Je travaille là-bas, je suis sa bonne.
– C’est vrai.
766 Une gentille Dame, d&;ailleurs. – Attendez, un membre de ma famille travaille comme bonne chez Marème Sall, c’est ça ?
766 Quel motif t’a poussée à accepter un poste
aussi dérisoire ?
766 Ce n’est vraiment pas digne d’une laobé ( bûcheronne)
– Je parie que Marème Sall ne savait pas que tu es une laobé.
766 Elle ne le sait pas, c’est vrai.
– Pourquoi tu ne m&;as rien dit de tout ça ?
766 À partir d’aujourd’hui,
elle ne travaillera plus là-bas, tata.
766 J’ai assez d’argent pour m’occuper d’elle.
– Nogaye tu ne travailleras plus là-bas.
766 Je vais m’occuper ça.
766 Une jeune femme de bonne famille doit demeurer auprès de sa mère jusqu’à ce qu’elle se marie.
766 Il sera là demain.
766 Elle a une fois de plus agi stupidement.
766 Elle a envoyé une vidéo d’elle et de Paco à Aly Mamadou.
766 – Sacrilège !
– Voici l’audacieux geste qu’elle a posé.
766 En tout cas, je trouverai une solution que tu le fasses ou pas.
J&;ai même déjà trouvé une solution.
766 On devrait l’accuser de viol.
– Sacrilège ! – C’est la seule solution !
766 On ne pourrait pas faire ça.
– Je persiste, il faut l’accuser de viol.
766 Ma fille est encore une gamine,
il l’a détournée et l’a violée.
766 Quel serait ton choix entre mentir et le maintien de l’estime de soi ?
– Je choisirais évidemment de préserver mon honneur. – Tu me rejoins alors.
766 Je continue d’insister :
il sera accusé de viol et de détournement.
766 Je vais trouver une solution ou perpétrer la mienne.
766 Si Aly Mamadou vient, je lui raconterai
toute l’histoire en détails, sans rien omettre.
766 – C’est à toi que je m’adresse.
Reviens.
766 Reviens par là !
Où comptes-tu aller ?
766 Pourquoi me poses-tu cette question ?
766 Tu devrais rester sur la porte
et attendre qu’on t’invite à entrer.
766 J’ai sonné et personne n’est venue m’ouvrir.
La porte était ouverte, je suis alors entrée.
766 D’accord, mais tu devrais attendre
que quelqu’un te fasse entrer.
766 Il semble que tu dois t’occuper de quelque chose d’important, alors qu’en réalité, ce n’est pas le cas. – Je ne vais pas rester là à t’écouter. – Attends Diouma.
766 Sache que les règles ont changé
dans cette maison.
766 Qu’est-ce que tu racontes ?
C’est chez mon père ici.
766 Oui et après ? – Tu ne devrais pas alors m’empêcher d’entrer ! Que ça ne se
reproduise plus ! – C’est parce qu’on m’a donné des consignes strictes !
766 Ils m’ont demandé de ne laisser entrer aucun Nieño (bûcheron, forgeron, griot, orfèvre.)
766 Tu exagères !
766 La ferme !
Un simple gardien et tu oses me parler ainsi !
766 Que se passe-t-il encore ?
– Effronté !
766 Elle voulait entrer. – Oui et après ? – Je lui ai alors expliqué que tu m’avais demandé de refuser l’entrée à tous les Nieños.
766 Oui, mais elle n’en fait pas partie.
766 Ne la reconnais-tu plus ?
766 Je la reconnais bien sûr.
– Qui est-ce alors ?
766 Qui est sa mère ?
766 C’est qui son père ?
– Bah, c’est toi.
766 Assieds-toi.
Diouma, tu n&;es pas du genre agressive.
766 Tu ne parles même pas beaucoup.
766 Là je te retrouve en train de te disputer avec Dame.
Qu’est-ce qui t’arrive ?
766 Tu n’es pas comme ça.
766 Je ne comprends plus rien.
766 Tu m’as demandé à ce qu’aucun Laobé, ni Nienio ne mette les pieds ici.
Alors pourquoi elle ferait l’exception ?
766 Tu ne me laisses pas jouir de mes prérogatives !
766 Tu m’as expressément demandé de ne pas laisser entrer un Nieñio.
Elle en est une pourtant. Elle ne devrait pas faire l&;exception !
766 Comment puis-je m’assurer du respect de ces consignes ?
766 Laisse-moi assumer mes responsabilités.
766 Arrête de pleurer, Dieynaba.
766 Ça ne résoudra rien.
J’imagine bien combien tu dois souffrir,
766 mais c’est ton destin et tu n’y peux rien.
766 Sois forte.
766 Tout ce qui m’arrive en ce moment est
une résultante de ton conflit avec Marème Sall.
766 Cela a coûté la vie à mon enfant.
766 Ne dis pas ça.
766 Je voulais juste te protéger, car tu es ma fille.
C’est la raison pour laquelle j’ai agi ainsi.
766 Cela me bouleversait de constater la manière dont Marème Sall te traitait, quand elle était encore en vie.
766 J’ai juste agi ainsi pour te protéger.
– Il y a des manières de le faire, maman.
766 Tu te disputais tout le temps avec elle.
766 Il existe certaines circonstances qui peuvent être résolues sans nécessiter de conflit.
766 Tu continues à être fidèle à ta relation conjugale, dépitant les épreuves
et je souhaitais emprunter une trajectoire similaire pour mon ménage.
766 Le mariage est la meilleure chose qui soit.
766 Ce qui t&;intéressait,
c’était d’avoir le dernier mot.
766 Tu dois dépasser ça.
766 A une mère insoumise une postérité fourvoyée !
766 J’ai toujours été une bonne femme pour ton père.
766 J’ai toujours été à ses côtés.
766 Si tu avais été une meilleure épouse,
papa n’aurait pas eu à se remarier avec d&;autres femmes.
766 Je m’excuse, maman,
mais tu te montres trop agressive.
766 Tu es toujours dans le tort. De surcroît, tu interviens
dans des affaires qui ne te concernent pas.
766 Si la paix régnait dans cette maison, papa serait resté.
766 Quel que soit son caractère,
il chérit profondément sa famille. Il est aussi très loyal.
766 J’aimerais vraiment que tu changes.
766 Je n’arrive plus à contenir ma frustration, elle est insoutenable.
766 Je crois comprendre que tu me désignes comme la fautive dans cette histoire ?
– Je me garderai de t’accuser, mais j’espère sincèrement qu’un changement s’opérera.
766 J’ai bien compris.
766 Je suis fatiguée, j’aimerais me reposer.
766 Tu dois vraiment changer.
766 – Qu’est-ce que tu fais ici ? – Pourquoi me parles-tu sur ce ton ?
Si tu le souhaites, nous pouvons continuer notre conversation à l’extérieur, comme à notre habitude.
766 Je n’ai rien dit de mal.
C’est juste que je vois que tu ne vas pas bien.
766 Je sais que si tu es venue jusqu’ici,
c’est parce que c’est important.
766 Je voulais juste savoir ce qui se passe.
Qu’est-ce qui t’arrive ?
766 Puis-je te poser une discussion ?
– Vas-y.
766 Est-ce que tu m’aimes réellement ?
– Cette interrogation est superflue.
766 Tu es mon joyau, mon ainée.
Bien sûr que je t&;aime.
766 Je ne pense pas que tu me considères comme quelqu’un d’important.
766 Je n’arrive pas à comprendre pourquoi tu n’as pas cherché à me retrouver
quand j’étais disparue, alors que tout le monde le faisait.
766 Tu ne m&;as même pas appelé au
téléphone pour savoir où j&;étais
766 Je peux certainement apporter quelques
éclaircissements à ce sujet.
766 C’est parce que à chaque fois que ton grand-père vient chez moi,
c’est pour me créer des déconvenues.
766 Quand il est venu ici,
je pensais que c’était juste par curiosité.
766 Qu&;il désirait savoir ce qu’était la vie après la mort de Marème Sall.
Je ne croyais pas que tu avais disparu.
766 De plus, ce comportement ne te ressemble pas.
766 Peu importe les difficultés que tu rencontres, tu ne devrais jamais fuguer,
mais plutôt faire face à tes problèmes.
766 Tu as eu vraiment tort.
766 Pourquoi as-tu fugué ?
– C&;est de leur faute.
766 J’ai découvert récemment l’existence d’une sœur jumelle,
qui m’a été dissimulée pendant plus de deux décennies.
766 Qu’est-ce que tu racontes ?
766 De quoi tu parles ?
766 Je pense que tu es perturbée ces derniers temps.
766 J’aimerais t’emmener voir mon ami médecin,
Cheikh Saadbou Diop, ou même,
766 je te conduirai chez Cheikh Mbacké Laye
pour qu&;il prie pour toi.
766 Je pense que tu en as besoin.
766 Arrête de pleurer, toi aussi. 
Je n’aime pas te voir dans cet état.
766 Ce n’est pas bien que tu te mettes dans cet état.
As-tu mangé ?
766 J’aimerais que tu te ressaisisses.
766 C’est ton destins et tu n’y peux rien.
766 De nombreuses femmes n’ont pas eu la possibilité de donner la vie,
mais tu as eu cette chance, même si cela s’est terminée par une fausse couche.
766 Tu dois être résiliante.
766 Au moins, tu es en vie.
766 Je ne veux pas te voir dans cet état.
766 Lève-toi.
766 Tes larmes ont gonflé ton visage.
Tu te fais du mal.
766 Papa, je souffre.
– Dis-moi ?
766 Je voulais que mon enfant,
ton premier petit fils porte ton nom.
766 En raison des coups de Makhou,
j’ai fait une fausse couche et le médecin me l’a confirmé.
766 Concernant Makhou ne t’inquiète pas,
j’en fais une affaire personnelle.
766 Cependant, tu dois remercier le Seigneur
de t’avoir gardé en vie.
766 Tu es jeune, plein d’avenir. Un jour, tu auras peut-être un fils qui portera mon nom, comme tu le désires.
766 Je n’aime vraiment pas te voir pleurer.
766 Je vais te laisser te reposer,
je vais retourner dans mon appartement.
766 Je vais appeler pour voir si tu as mangé.
766 Je ne peux pas te voir dans cet état.
766 Ne pars pas, papa.
766 Ne me laisse pas seule.
766 Tu es tout pour moi.
766 Je ne cesse de te le répéter.
766 Je t’en conjure, reviens, juste pour moi.
766 Ne t’attarde pas sur les comportements
de maman et pardonne-nous.
766 On en reparlera quand tu seras en bonne forme.
766 Je t’appellerai et on continuera la discussion.
766 Tu penses vraiment que je suis folle ?
766 Tes actions ne me disent pas le contraire.
Je vais t’emmener voir Cheikh Mbacké pour qu&;il prie pour toi.
766 Tu penses que je suis folle ?
766 Qu’est-ce qu’elle fiche ici ?
766 Qu’est-ce qu’elle fiche ici ?
766 Salue d’abord.
– Je ne le ferai pas ! Qu’est-ce qu’elle fait ici ?
766 Sa mère n&;a pas une dent contre la mienne mais plutôt tout une mâchoire !
Alors elle n’a rien à faire ici !
766 Vous les Nieños devraient rester chez vous !
766 C’est à moi que tu t’adresses ainsi, Amina ?
766 Y a-t-il une autre Diouma ici ?
Arrête de jouer à l’innocente.
766 C’est bien à toi que je m’adresse !
766 Tu ne fais pas partie de notre famille !
Reste chez toi !Tu n’es qu’un enfant illégitime !
766 Répète ce que tu viens de dire !
766 Quelle impolitesse, Amina !
766 Que ça ne se répète plus, sinon je vais te casser la gueule !
766 Que penses-tu vouloir faire, papa ?
766 Tu sais qu’elle souffre déjà et tu en rajoutes !
766 Je ne te permets pas de crier sur ma sœur !
766 Tu oses m’affronter !
Si tu répètes ce qu’elle vient de dire, je te casse la gueule !
766 Bande d’impolis !
766 Si tu pars et que je meurs, il est inutile de verser des larmes,
car ce sera ta décision qui aura causé ma perte.
766 – Tu m’auras abandonnée. Ne fait pas ça !
– Ne dis pas ça ! Je ne t’abandonnerai jamais.
766 Tu es mon amie.
Je consacre ma vie à ton bonheur.
766 Je n’ai plus personne, à part toi.
766 Ne te mets pas dans cet état !
Veux-tu que je meure ?
766 Écoute-moi !
766 – Je me plierai à tes exigences, même si ça me déplait.
– Je t’aime.
766 Je le sais.
Veux-tu que je reste dans cette maison ?
766 Je vais regagner la maison.
766 Ça te réjouit ?
766 Vous commencez à dépasser les bornes.
766 Tu te permets de nous insulter parce que
ça fait plaisir à ces vauriens ?
766 Je ne connais pas la teneur de leur conversation,
mais je partage son avis.
766 – Ma mère est morte par leur faute.
– Ah oui ? Vraiment ?
766 Tu aurais dû avoir honte de mettre les pieds dans cette maison !
766 – Éhontée va !
– Tu sais quoi ?
766 Elle a les mêmes prérogatives que vous
dans cette maison. C’est mon ainée.
766 C’est votre grand-soeur, est-ce clair?
766 – Elle a les mêmes prérogatives que vous. Arrêtez de parler ainsi !
– C’est notre maison.
766 – C’est à elle de partir, pas à nous !
– Vous dépassez les bornes.
766 – Nous sommes chez nous ici, c’est à elle de partir !
– Je n’ai pas l’impression que vous me respectiez. Je vous préviens que vous le regretterez.
766 C’est la maison de notre mère. Si tu souhaites la rencontrer,
rends-toi chez sa mère !
766 – C’est chez moi, ici. Ta mère n’a aucun droit sur cette maison !
– Allons-y !
766 Vous ne payez rien pour attendre.
766 J’y vais.
766 Où es-tu ?
766 Tu m’invites au resto et tu oses arriver en retard.
Je suis venue avant toi, alors que c’est moi l’invitée !
766 Je suis convaincue que tu es en retard
parce que tu en train de te pomponner !
766 Si tu ne te présentes pas dans les prochaines cinq minutes,
je m’en vais.
766 Tu m’invites, mais c&;est toi qui te permets d&;arriver en retard.
766 C’est pour cette raison que je n’aime pas sortir avec elle.
766 J’aurais dû être au travail à l’heure actuelle, mais j’ai choisi de répondre
à son invitation et maintenant elle a le culot d’arriver en retard.
766 Je ne suis pas ton ennemie.
766 J’ai privatisé ce restaurant uniquement pour discuter toi.
766 Je voulais juste te parler.
Accorde-moi juste cinq minute.
766 Je n’ai rien à te dire.
766 Je t’accorde juste cinq minutes, pas une seconde de plus !
766 Je pense que le moment est venu
de nous entretenir franchement, loin de toute dispute.
766 Je suis convaincue que
tu penses qu&;avec mes réactions,
766 nous pouvons recoller les morceaux,
mais laisse-moi te dire que ça n&;arrivera pas.
766 Nous deux, c’est fini.
766 Tu mens. Tu te mens à toi même.
766 Pourquoi te mets-tu en colère quand tu me vois
alors ?
766 Tu ne veux pas m’entendre dire que je t’aime.
766 La dernière fois que je te l’ai dit, tu m’as giflé.
Je ne vais pas le répéter.
766 – Je te demande qu&;une seule chose. Laisse-moi rattraper mes erreurs !
– Une faute n’est commise qu’une fois.
766 Il ne nous reste plus que les documents du divorce à signer
pour que la vie reprenne son cours.
766 Tu veux qu’on divorce ?
766 – Qui es-tu ?
– Je suis Bocar Kane.
766 C’est qui le petit tambour ?
766 Qui ça ?
766 – Celui qui ressemble à un batteur de tam tam.
– Tout le monde le fait dans cette maison.
766 C’est qui ?
766 Est-ce que tu parles de notre « golden boy » ?
766 Pourquoi veux-tu le voir ?
766 Quoi ?
766 Tu te crois où ?
766 Laisse-moi gérer la situation !
766 – Tu es encore là ?
– Je vais tuer ton fils.
766 Tu mens. Qu’est-ce qui te prend ?
766 Quoi ?
766 C&;est grave
766 Il ment.
766 Oui.
766 – Oui.
– Les choses ont changé.
766 Tu n’es personne.
766 Comment peux-tu, toi qui te prétends être un homme noble,
accuser un Guewel de viol ?
766 Tu n’es pas un noble.
766 J&;aurais aimé que ta femme soit là.
766 Je suis venue chez toi, mais tu n’y étais pas.
766 J’ai informé à ta femme que
si votre fille parvient à séduire mon fils
766 et qu’il le fait tomber enceinte,
l’enfant ne sera pas reconnu.
766 – Qu’il en fasse ce qu’il veut !
– Ma tante, laisse-moi lui dire deux mots !
766 – Vas-y !
– As-tu perdu la tête ?
766 – Pourquoi ce tapage diurne ?
– Bien !
766 Il ne peut pas la violer.
766 Notre relation était fusionnelle !
766 J’ai tout donné pour toi.
Souviens-toi de ces instants heureux !
766 Ne les mets pas aux oubliettes !
Je ne veux pas qu’on divorce.
766 Notre relation était empreint de tendresse.
766 -Je me disais que c’était la relation la plus idéale.
– Ça l&;était.
766 C&;était le parfait amour…
766 Cependant, tu as tout gâché.
766 Parce que tu es un imbécile et un clochard.
766 Notre relation a pris fin lorsque tu as laissé certaines personnes s’immiscer dans notre foyer.
766 Je ne te reconnaissais plus.
Nous nous aimions tellement.
766 Je partageais le même sentiment que toi.
766 Tu m’as fait du mal.
766 Contrairement à toi, je pense que ce n’est pas encore fini.
766 Tu sais ce qui va nous arriver ?
766 Le ressentiment !
766 La rancoeur de ne plus faire machine arrière !
766 Tu penseras à moi si tu te maries
avec un autre et moi pareil. Nous pouvons l’éviter.
766 C’est moi que tu aimes.
766 C’est toi que j’aime.
766 Recommençons à zéro.
766 Je ne reviendrai pas sur ma décision.
J’attends juste les papiers de divorce
766 pour en finir une bonne fois pour toute.
766 – Nous allons vous rendre la pareille.
766 – Passe devant !
– Regarde-moi ! – Ne me parle pas !
766 Je te casserai la gueule si tu reviens
dans cette maison. Aucune poigne !
766 Pourquoi se laisse-t-il dominer par sa femme ?
766 Cependant, tata nous sommes dans de beaux draps.
766 J’ai peur.
– Tu m&;appelles par mon prénom maintenant ?
766 C’est parce que je suis prise de panique.
766 – As-tu entendu ce qu’il a dit. Il n’y a pas de fumée sans feu.
– Qu&;est-ce que ça veut dire ?
766 Je te le traduirai après.
En langage plus clair, il ne serait pas venu ici, si Paco n&;avait rien fait
766 L’information est sans équivoque :
s&;il dit la vérité, Paco ne s’en tirera pas indemne.
766 Le viol est un délit qui est sévèrement puni.
766 Je ne suis pas dupe.
766 Je connais Paco et je sais de quoi il est capable.
766 – Appelle-le pour qu’il nous dise la vérité !
– Je ne l’ai pas éduqué ainsi.
766 – Elle est vraiment très belle et il est impossible pour un homme de ne pas succomber à son charme. – Avec toutes ces valeurs qu’il a apprises, il n’oserait jamais faire ça.
– C’est un homme après tout.
766 C’est compliqué. Appelle-le pour qu’on le règle avant qu’ils ne fassent une autre descente.
766 Je vais l’appeler. S’il l’a violé, il le regrettera amèrement.
766 Viens !
766 – Ma mère veut que je marie avec Bigué.
Elle dit que je suis un responsable.
766 Je ne dois pas rester sans femme.
766 Tu sais qu’elle a toujours voulu me caser avec elle,
mais je ne l’aime pas.
766 C’est toi que j’aime. Sauve-moi !
C’est pas si difficile que ça.
766 C’est une bonne nouvelle.
766 Oui.
766 Retourne avec les gens de ton caste.
766 Quand tu ne sais pas où tu vas retourne d&;où tu viens car le passé est la rampe de lancement vers le présent !
766 Écoute !
Fais de moi la belle-soeur d’honneur !
766 N’en fais rien !
Emmène-la moi pour que je la forme.
766 Je lui apprendrai à valoriser ses perles de taille, à remuer son post
766 Tu n’aimes que les Laobés.
766 As-tu un amant ?
766 Tu as un autre homme dans ta vie ?
766 Montre-moi ce froussard.
766 Je vais lui casser la figure.
766 Je suis un vrai homme.
766 Tu es à moi.
766 C’est fini.
766 Ce corps ne t’appartient plus.
766 Elle ne viendra pas. Ne lui en veux pas !
766 J’ai insisté pour qu’elle le fasse.
766 Elle est gentille et c’est ton amie.
766 Tu connais mon sobriquet.
766 Bonjour !
766 Bonjour !
766 Je suis choquée.
Qu’est-ce que tu fiches ici ?
766 Tu oses venir ici
après tout ce que tu as fait à Dieynaba ?
766 Je suis ici pour voir Makhoudia Tall.
Appelle-le s’il est là !
766 – Merde !
– Alkaly va lui casser la gueule.
766 – Il est audacieux.
– Éhonté va !
766 Tu es là ? Éhonté va !
766 – Casse-lui la gueule !
– Qu’est-ce que tu fiches ici ?
766 – Qu’il meurt !
– Casse-lui la gueule !
766 – Relâche-le !
– Tu as de la chance.
766 Je n&;en ai rien à faire de votre cinéma là !
766 Est-ce clair ?
766 Je t’avais dit que j’allais venir récupérer
mon argent dans quelque jours.
766 – Je suis venu pour ça.
– Quel argent ?
– Quoi ?
766 – Je t’avais promis que je te le donnerais quand je l’aurais obtenu.
– De quel argent il parle ? – Tu ne le sais pas ?
766 Je ne te parle pas !
766 Tu es la source de tous nos problème.
766 As-tu parlé à Daba Thiam ?
766 Diouma est venue me voir pour
me dire qu’elle avait une jumelle.
766 Elle a perdu la tête. Je ne comprends plus.
766 -Elle ne délire pas, elle dit la vérité : elle a une sœur jumelle.
– Quoi ?
766 – Daba Thiam me l’a dit elle-même.
– Qu’est-ce qu’elle t’a dit ?
766 La mère de Daba a donné l’autre jumelle
sans en parler à personne.
766 Pardonne-moi, mais arrêtez avec vos bêtises !
766 – Comment ça ?
– Laisse-moi terminer !
766 Comment Daba a-t-elle pu ignorer qu’elle portait
des jumeaux pendant neuf mois ?
766 Elle l’a su après 20 ans ?
766 On a donné la jumelle.
766 Tu sais bien tout ce qui s&;est passé.
766 Tu sais tout de cette grossesse.
Elle ne s’est jamais rendu à l’hôpital.
766 Elle cachait sa grossesse.
Tout le monde l’a su le jour de l’accouchement.
766 L&;as-tu oublié ?
766 Je ne l’ai pas reconnue lorsqu’elle est venue chez moi.
766 Elle pleurait toutes les larmes de son corps.
Elle ne le savait pas.
766 Ça ne tient pas la route. Si tu veux les croire, vas-y fais-le.
766 Je n’ai pas la tête à ça.
766 Je songe à la dette de Marème Sall
et aux modalités de remboursement.
766  Tu as l’audace de venir chez moi pour
réclamer un remboursement à mon père ?
766 Éhonté va !
766 Ton père n’oserait jamais venir
se faire rembourser par mon père.
766 Mon père a tout fait pour ton père.
766 Tu n’as aucune classe.
766 Mon père a tout accepté pour vous.
766 Il t’a accordé ma main, j’ai tout enduré pour toi.
766 – Je ne te croyais pas capable de ça.
– Papa, est-ce vrai ce qu&;il vient de dire ?
766 Je me suis occupée de toi. Tu m’as déçue.
766 – Ton père ne viendra jamais se faire rembourser.
– Ne fais pas ça !
766 Vous nous devez beaucoup.
Tu veux humilier mon père.
766 – Il ne pourrait pas l’humilier.
– Tu m’as déçue.
766 Tu es encore malade.
766 – C’est bien toi ?
– Vous nous devez de l’argent, alors remboursez et arrêtez de jouer aux vistimes.
766 Nous allons te rembourser ton argent.
766 Je ne veux pas vous devoir quelque chose.
766 Tu sais quoi ?
766 Qui nous prête de la hideur se verra rembourser une immondice !
766 Nous allons te rembourser ton argent, il n’y a pas de problème,
766 mais sache que nous allons porter plainte contre toi.
766 Tu as frappé ma fille si fort qu’elle a fait une fausse couche.
Tu vas le payer !
766 -Tu seras derrière les barreaux !
– Pas la peine, laissez-moi lui refaire le portrait !
766 Vas-y parle !
Tu m’as frappée jusqu’à ce que je fasse une fausse couche.
766 Estime toi heureux, si ce n&;était elle, je t&;aurais déjà cassé la figure.
– Tu le regretteras.
766 Je vais porter plainte contre toi.
Comme tu ne montres aucun attachement.
766 – Nous allons porter plainte.
Tu aurais dû consulter ton père avant de venir, tu vas le regretter amèrement !
766 Sors de cette maison !
766 Dehors !
766 Sors !
– Dehors !
766 Allons-y !
– Viens !
766 Éhonté va !
Il nous met toujours dans l&;embarras !
766 Tu devrais aller retrouver Makhou
et lui demander pardon.
766 – Tu es en tort. Tu lui as proféré des injures.
– Pardon ? Tu veux que j&;aille le retrouver ?
766 – Oui.
– Pour lui demander pardon ? – Oui.
766 – Tu veux que je le fasse après tout ce qu’il m’a fait ?
– Il ne t’a rien fait.
766 Si tu parles de ce secret, tu sais très bien que c’est Fatim Thiam qui l’a révélé.
766 En guise de piqûre de rappel.
766 Makhoudia a toujours été là pour toi.
766 Ton épouse était au bord de la mort
et il lui a donné l’un de ses reins.
766 Personne ne l’aurait fait.
766 Tu crois qu’il n’a rien fait de mal ?
Tu te permets de le défendre ?
766 Tu sais quoi ?
Je te conseille de demander le divorce.
766 – C’est fini entre vous.
– Il n’en vaut pas la peine.
766 – Je ne le ferai pas.
– Ah bon ?
766 Je reste avec lui que tu le veuilles ou non.
Je ne divorcerai pas pour te faire plaisir.
766 Si tu veux m’abandonner parce que je suis avec lui,
alors, libre à toi.
766 Ah bon ?
766 Sache que ton absence ne nous affecte pas, chère Oumou Khaîri !
766 – Elle m&;a appelée par mon prénom ?
– Laisse-moi finir, papa !
766 – Est-ce bien toi ?
– Oui. – Tu ne m’appelles plus tata tante ?
766 Quoi ? Tu ne le mérites pas.
Je ne vais plus le faire.
766 Tu sais quoi ? Regarde-moi quand je te parle.
Laisse-moi !
766 Regarde-moi !
766 Tu sais quoi ? Tu veux que Daba se marie
avec mon père, mais ça n’arrivera jamais.
766 Je préfère mourir que de voir ça.
Tu n’as jamais aimé ma mère. Tu faisais semblant.
766 Écoute-moi !
766 Tu peux me traiter de tous les noms.
766 C’est comme ça que tu me traites ?
– Oui.
766 À partir d’aujourd’hui, nous ne laisserons personne salir la réputation de ma mère.
766 Que ça soit toi ou un autre, est-ce clair ?
766 Je suis en phase avec mon père.
Il sait ce qu’il fait.
766 Quant à toi, Oumou Khairy, tu peux même arrêter de venir chez nous.
Nous n’avons plus besoin de toi.
766 Est-ce clair ?
766 Ce n’est pas la peine.
766 Ne me regarde pas !
As-tu vu ce que tu as créé ?
766 – Je te jure que tu vas le regretter.
– C’est de ta faute.
766 Je m’en fous.
.

La destination de sexaddictioncertification.org est de débattre de addiction sexe, masturbation homme & chasteté dans la transparence la plus complète en vous offrant la visibilité de tout ce qui est mis en ligne sur ce sujet sur la toile Beaucoup de réponses sont apportées par cet article trié par sexaddictioncertification.org qui traite du thème « addiction sexe, masturbation homme & chasteté ». Cet article a été reproduit du mieux possible. Si tant est que vous désirez apporter des modifications sur le thème « addiction sexe, masturbation homme & chasteté » vous êtes libre de contacter notre rédaction. En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

We use cookies to personalise content and ads, to provide social media features and to analyse our traffic. We also share information about your use of our site with our social media, advertising and analytics partners. View more
Cookies settings
Accept
Privacy & Cookie policy
Privacy & Cookies policy
Cookie name Active
sexaddictioncertification.org Photo de la page Politique de confidentialité
Save settings
Cookies settings