Le rugby a toujours connu des excès. Mais avec la cocaïne, il est confronté à un problème de santé publique.
À l’aune des dernières affaires en date du rugby français, la question est tentante de se demander où sont passées les fameuses valeurs. Celles brandies en slogan publicitaire pour accompagner l’émergence du rugby à XV en sport professionnel désirable.
Avec, dans les tribunes, de gentils supporters qui n’insultent jamais les arbitres et les adversaires et sur le terrain de solides gaillards épris de fraternité, de don de soi et du sens du collectif.
Tout ce beau monde se retrouvant lors de la troisième mi-temps pour faire des paquitos géants au son de la Pena baoiana, en buvant modérément des demi-pêches.
Celles et ceux qui connaissent l’ovalie n’y ont jamais vraiment cru. Parce qu’un rugbyman n’est jamais « qu’un homme fait de tous les hommes, qui les vaut tous et que vaut n’importe qui » pour reprendre une célèbre expression de Jean-Paul Sartre. Et que des excès, comme ceux dont il est question dans notre dossier sur l’usage de la cocaïne, il y en a toujours eu depuis que le rugby est rugby, ce sport de voyous pratiqué par des gentlemen.
Tous les niveaux touchés
Sur nos terres catalanes et audoises, les aficionados comme les anciens joueurs se passent, de génération en génération, des anecdotes inavouables qui font aujourd’hui les légendes des uns et des autres.
Mais avec l’arrivée de la cocaïne dans les vestiaires, le rugby se trouve confronté à un problème de santé publique. À l’image de la société où la drogue se diffuse largement, en zone urbaine comme en zone rurale, dans les milieux aisés et populaires sans distinction.
Et si la tentation est grande, comme à chaque fois, de laver le linge sale en famille, les instances dirigeantes du rugby ne peuvent plus se cacher derrière leur petit doigt. Le témoignage d’un ancien joueur amateur, que nous partageons dans ces colonnes, est éloquent. La prise de cocaïne n’est pas un fait nouveau dans le rugby et elle touche tous les niveaux, toutes les catégories, même les plus jeunes.
Le professeur Laurent Karila, psychiatre et addictologue le rappelle dans son interview, « il y a un lien qui a été montré entre la cocaïne et le rugby selon Jérémy Roubin, le secrétaire général de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), mais il ne faut pas en faire une généralité ».
Reste à savoir quelles réponses apporter. Pas une mince affaire alors que l’Agence mondiale antidopage (AMA) a changé la réglementation, permettant à ceux qui prouvent un usage récréatif de la cocaïne de n’écoper que de trois mois (voire un) de suspension.
Toutefois la prise de conscience est là. Pour preuve, les pistes avancées par Olivier Lièvremont, le directeur technique national de la FFR.
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