L’idéal du mondialiste, c’est la jungle où une prétendue main invisible permet au loup et à l’agneau de vivre ensemble pour le bien… des agneaux bien sûr ! C’est un monde où tout est marchandise, ce qui génère le chaos : l’utérus des femmes (il faut désormais préciser sans craindre le pléonasme…), un embryon, un fœtus, un enfant qu’on peut acheter, vendre, louer, posséder, j’utilise ce mot à dessein, ou jeter à la poubelle s’il ne convient plus parce que les commanditaires ont changé de projet ; le marché du changement de sexe des mineurs ; le narcotrafic qui permet aux élites de consommer de la cocaïne ; le devenir-zombie de populations abruties par la pharmacie des anxiolytiques, des somnifères, des antidépresseurs ; les addictions au sang et à la violence d’une jeunesse perdue.
Ou encore l’ivresse consumériste de la sexualité tarifée ; la perfusion aux images pornographiques des jeunes – le premier motif mondial de connexion au net ; les crimes pédopornographiques commandités par des Occidentaux sur Internet qui achètent le viol, la torture ou le meurtre d’enfants, avec la complicité de leurs parents, pauvrissimes la plupart du temps, avec un billet de vingt euros ; la santé psychique, physique, mentale des travailleurs empoisonnés par des produits toxiques ; celle des consommateurs cancérisés par les perturbateurs endocriniens partout présents dans la nourriture ; la culture exigeante détruite pour laisser place aux loisirs rentables qui exigent peu de neurones, le manga en lieu et place du livre, le cinéma wokiste contre l’opéra, les jeux vidéo contre le vrai cinéma, etc.
Le libéralisme est une idéologie plus perfide que le communisme dont la nocivité est visible pour quiconque ne renonce pas à l’exercice de son intelligence. Si le marché fait la loi, la jungle règne. Il ne peut faire la loi dans une école, un hôpital, une caserne, un commissariat, un tribunal, il ne le devrait pas non plus dans une maison d’édition. Ce qui devrait faire la loi dans ces lieux, c’est l’instruction, la santé, la défense, la sûreté, la justice, la culture – j’allais écrire : l’Instruction, la Santé, la Défense, la Sûreté, la Justice, la Culture et autres… droits de l’Homme !
Outre la main invisible qui permettrait d’obtenir de façon magique l’ordre dans le désordre du marché, le libéralisme énonce une deuxième thèse fautive : celle du ruissellement qui affirme que l’enrichissement des riches génère celui des pauvres. Notre président de la République est un farouche dévot de ces deux croyances. Or, ce qui ruisselle, c’est le fond d’une bouteille renversée sur la table après le festin, des miettes tombées par terre, un peu de viande oubliée sur les reliefs d’un repas d’ortolans, une part de dessert abandonnée par les repus.
Coupable de haute trahison
Il y avait à ce repas la plupart des journalistes du système, des chanteurs et des acteurs très attachés à leurs jets privés (qui, bien sûr, turbinent à l’eau sucrée…) tout autant qu’à la lutte contre le réchauffement climatique, des amis d’un organisateur de partouzes aujourd’hui suicidé par une main charitable, d’autres amis d’un producteur de cinéma jadis en haut de l’affiche aujourd’hui affalé sur un strapontin défoncé, les inévitables époux Clinton (qui ruinent Haïti depuis des décennies) et les Obama (qui ne sont jamais loin des précédents).
On y trouvait aussi les sondeurs ayant annoncé un coude-à-coude quand il y eut un raz-de-marée : soit ce sont des menteurs haut de gamme qui travaillent au formatage de l’opinion, soit des incompétents notoires engraissés par les milliards. L’un n’excluant pas l’autre. Obama avait annoncé que le dépouillement durerait des semaines, peut-être les semaines nécessaires pour retrouver quelques urnes perdues, ici, là, ailleurs, autre part, encore ailleurs, ou pour reparamétrer les machines à voter…
Donald Trump propose aux victimes de la jungle mondialiste d’être protégées
Le Donald n’est pas malin, pas finaud, pas délicat, pas cultivé, pas subtil, pas féministe non plus, c’est entendu. Mais je n’aurai pas la cruauté de renvoyer au personnel politique français haut de gamme qui, lui non plus, n’est pas malin, pas finaud, pas délicat, pas cultivé, pas subtil, pas féministe – la place manque… Trump est souverainiste : il dit « America first ! », autrement dit « L’Amérique d’abord », et les fascistes de gauche qui traitent de fascistes tous les véritables antifascistes y voient… une signature fasciste ! Or, tout chef d’État devrait ainsi parler de son pays et de son peuple. Un chef d’État qui ne pense pas ainsi se montre coupable de haute trahison envers son peuple, donc passible de la Haute Cour – article 68 de la Constitution. Je ne vise personne, suivez mon regard. Car c’est être fasciste que de ne pas dire « Mon pays d’abord » quand on est chef de l’État et d’ajouter « Priorité mondiale et discrimination antinationale » quand on n’a plus un sou vaillant dans les caisses car on sacrifie le petit peuple pour réaliser le grand rêve mondialiste d’une jungle heureuse.
Le colt à portée de main
Donald Trump propose aux victimes de cette jungle mondialiste d’être protégées. Sous ses airs de matamore, dans son costume de shérif clinquant, avec ses mimiques de cow-boy, le colt à portée de main, il propose aux sans-dents de les protéger des animaux féroces de la jungle. Ceux qui ont été virés du banquet aux ortolans crient au fascisme – ce sont eux les fascistes qui méprisent le peuple en lui préférant l’oligarchie des cooptés qui, comme les Jacobins, rêvent d’une seule chose : que le peuple n’ait qu’une seule tête afin de pouvoir plus facilement le guillotiner.
Pour l’heure, ce peuple menacé par les mondialistes dispose d’un homme qui souhaite leur rendre leur dignité. Il ne fera pas de merveilles, mais il donne aux petites gens l’occasion de relever un peu la tête. C’est déjà beaucoup.
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