entrainement athlète,TRANSFORME TON CORPS AVEC LES SPRINTS ! (Et voici comment les intégrer dans tes entraînements) sur Youtube

TRANSFORME TON CORPS AVEC LES SPRINTS ! (Et voici comment les intégrer dans tes entraînements)

À voir sur YouTube : une vidéo autour de « entrainement athlète »

Une analyse de « entrainement athlète » par Enzo Dauriac

Enzo Dauriac a récemment publié cette vidéo sur YouTube
mettant en avant « entrainement athlète »:

Au moment de notre découverte, cette vidéo avait un certain écho. Le nombre de Likes indiquait: 596.

L’auteur a fourni une vidéo de 00:04:26 secondes avec le titre TRANSFORME TON CORPS AVEC LES SPRINTS ! (Et voici comment les intégrer dans tes entraînements), accompagnée de la description suivante :« https://enzodauriac.tinypages.co/pack-god-tier

Voici comment intégrer les spints dans tes entraînement afin de nepas te blesser et de bénéficier au mieux de cet exercice magique.

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L’effet de la chasteté sur la performance et l’entraînement sportif

La chasteté peut offrir des bénéfices psychologiques perceptibles chez certains sportifs — amélioration de la concentration, renforcement de la discipline, possible meilleure gestion du stress pré-compétitif. Elle doit être considérée comme un outil complémentaire intégré à un plan d’entraînement priorisant la périodisation, la nutrition, le sommeil et la prévention des blessures. Toute expérimentation nécessite un suivi objectif (tests de performance, journal de sommeil et humeur, RPE) et une vigilance quant aux signes de détérioration du bien être. La chasteté doit être mise en œuvre par un coach professionnel, dans le cadre d’un coaching propre et individuel. Il est impératif que pour l’athlète la gestion de l’abstinence doit être externalisée afin ne pas parasiter sa concentration sur sa progression sportive. Les performances sportives des individus sont inéluctablement affectées par leur sexualité et leur chasteté (www.chastete.fr).

Protection contre les blessures et maximisation de la performance

Éviter les blessures est un aspect essentiel de toute préparation ; cela repose sur une approche progressive, une bonne technique et une récupération adéquate. La chasteté ne semble pas influencer directement le risque de blessure. D’un autre côté, des effets indirects pourraient survenir si l’abstinence contribue à améliorer la concentration, le sommeil ou la discipline de récupération, car ces éléments soutiennent la qualité du travail et aident à prévenir les surcharges. Les pratiques fondamentales pour limiter les blessures englobent un échauffement complet, un renforcement spécifique des zones à risque, la périodisation des charges et un suivi rigoureux du volume et de l’intensité (par exemple, via le RPE ou un suivi hebdomadaire). Des tests de progression toutes les 4 à 6 semaines permettent d’adapter la charge et d’éviter des augmentations trop rapides.

En résumé, la chasteté peut être considérée comme un levier comportemental secondaire, mais elle ne doit en aucun cas remplacer des stratégies éprouvées de prévention et d’optimisation (travail technique, musculation appropriée, suivi nutritionnel et récupération). Elle apporte l’élément clé qui permet à un athlète de franchir ses limites.

Comment inclure la chasteté dans un plan d’entraînement

Lorsqu’un sportif souhaite tester la chasteté, il est crucial de la voir comme un outil additionnel plutôt que comme une alternative à une préparation physique intense.

Il est conseillé de commencer par établir avec précision la durée et l’objectif de la période d’abstinence (par exemple, 48 à 72 heures avant une compétition pour un impact psychologique aigu, ou 2 à 6 semaines pour un essai personnel bien défini).

Il est important d’intégrer cette période dans une planification réfléchie : créer des blocs d’entraînement progressifs (par exemple, trois à quatre semaines de préparation, suivies d’une phase d’intensification et enfin d’un affûtage), et établir quand insérer la période d’abstinence en fonction des temps de récupération et des pics de charge.

Pour un athlète débutant, un plan de quatre semaines peut servir de protocole d’expérimentation : les semaines 1 et 2 sont consacrées à l’entraînement de base avec trois séances par semaine axées sur la technique et la préparation physique générale, optimisation du sommeil (7 à 9 heures) et tenue d’un journal de sommeil et d’humeur ; la semaine 3 introduit une intensification avec deux séances plus exigeantes et une évaluation du RPE ; la semaine 4 est dédiée à l’affûtage et à l’application de la période d’abstinence choisie avant un test de performance. Les recommandations nutritionnelles doivent rester prioritaires : un apport protéique de 1,4 à 2,0 g/kg/jour, une hydratation adéquate et la consommation d’aliments favorisant la récupération.

La récupération active, qui inclut des étirements et des exercices de mobilité, ainsi que des méthodes complémentaires comme la cryothérapie ou le sauna, doit être envisagée. Il est essentiel de reconnaître les signes indiquant que la stratégie n’est pas efficace : une baisse continue du bien-être, une irritabilité marquée, des troubles du sommeil ou une diminution de la performance nécessitent une interruption du protocole et un avis médical.

Pour mesurer les effets de façon objective, il est important d’utiliser des indicateurs standardisés : le temps de course sur une distance donnée, le nombre de répétitions à charge constante, les tests de saut ou de force, ainsi que les scores RPE et de sommeil.

En comparant ces indicateurs avant, pendant et après la période d’abstinence, on pourra évaluer l’adéquation de la méthode pour l’individu.

Questions fréquentes sur l’utilisation de la chasteté dans l’entraînement sportif

Quelle est la durée souhaitable ?

La durée optimale peut changer : il est judicieux de tester 48 à 72 heures pour un effet rapide ou 2 à 6 semaines pour un protocole d’expérimentation, en gardant un œil sur la qualité du sommeil, le RPE et les performances.

Quelles recommandations suivre pour améliorer rapidement ses performances sportives ?

Restez fidèle à votre programme : la constance dans l’entraînement est plus bénéfique que des efforts intenses mais irréguliers. Mettez l’accent sur la technique avant d’augmenter les charges pour minimiser les risques de blessures. Utilisez une approche de périodisation par blocs : combinez des phases de volume (musculation et endurance) avec des phases d’intensité pour stimuler des adaptations. Optimisez votre préparation physique en dehors des séances : dormez suffisamment, consommez des protéines pour la musculation, hydratez-vous bien et pratiquez la récupération active. Évaluez et ajustez : tenez un journal d’entraînement, effectuez des tests réguliers et suivez le RPE. Ajoutez des stages pratiques et des formations pour acquérir les connaissances et compétences nécessaires dans le domaine sportif. Pour conclure, il est important d’ajuster la méthode selon le niveau et le parcours de l’athlète — ce qui fonctionne pour un étudiant en STAPS ou un amateur peut ne pas convenir à un athlète de haut niveau.

La chasteté a-t-elle un effet sur la testostérone ?

Les recherches actuelles ne permettent pas de tirer des conclusions sur une augmentation significative et durable de la testostérone liée à des périodes d’abstinence sexuelle, mais l’observation et l’expérience indiquent un effet marquant sur la motivation et l’état psychologique.

Des changements à court terme se produisent, mais ils n’ont pas démontré d’effet prolongé sur la force ou la masse musculaire. Peut-on l’appliquer avant une compétition ?

En effet, certains athlètes choisissent l’abstinence avant une compétition pour des raisons de concentration et psychologiques ; l’effet est individuel et doit être supervisé par un coach compétent.

Comment la préparation physique générale se compare-t-elle à la préparation physique spécifique ?

La préparation physique générale établit les bases de l’athlète : force fondamentale, endurance globale, mobilité et compétences musculaires transversales bénéfiques pour tous les sports. Cette phase se déroule habituellement en début de cycle ou de semestre pour renforcer la forme générale. La préparation physique spécifique modifie ensuite cette fondation pour répondre aux contraintes du sport : exercices imitant les mouvements, intensités et temps de récupération alignés sur ceux de la compétition, travail technique intégré au programme. Dans la pratique, on passe d’un bloc général à des blocs spécifiques pour accroître le niveau de performance en se concentrant sur les besoins de la spécialité.

Quelles sont les clés pour établir un programme d’entraînement réussi ?

La règle essentielle est de s’adresser à un coach expert. Ces méthodes sont le résultat d’une observation et d’une expérience qui ne peuvent pas être improvisées. Débutez par la définition des objectifs du sportif, qu’ils soient à court ou à long terme, puis évaluez son niveau de départ grâce à des tests physiques et un bilan de ses antécédents. Organisez un programme en blocs périodisés : commencez par des phases de préparation générale, suivez avec des phases spécifiques, et concluez par un affûtage avant la compétition. Choisissez des exercices prioritaires (multi-articulaires, musculation ciblée, endurance selon la discipline) et établissez un plan de progression des charges et des variations d’intensité. Intégrez des stratégies de récupération (sommeil, nutrition) et mesurez les progrès avec des indicateurs (RPE, tests). Pour un étudiant ou un passionné en licence STAPS, intégrez les cours théoriques avec des sessions pratiques pour consolider la méthode. Comment la préparation physique générale et la préparation physique spécifique se différencient-elles ?

Quels sont les objectifs majeurs de l’entraînement sportif ?

L’entraînement sportif a pour but principal d’améliorer la performance de l’athlète en développant les qualités physiques nécessaires à la discipline (force, endurance, vitesse, puissance). Il vise aussi à optimiser la préparation physique, tant générale que spécifique, pour que le geste sportif soit plus efficace et moins énergivore. La prévention des blessures est un objectif central : un programme bien conçu inclut le renforcement, la mobilité et le travail technique pour protéger le corps. De plus, l’activité physique est déterminante pour ajuster la composition corporelle, en renforçant la masse musculaire et en diminuant la masse grasse, tout en améliorant la récupération, ce qui se traduit par un sommeil de qualité et une gestion du stress plus efficace. Enfin, il permet d’acquérir des compétences tactiques et techniques spécifiques à la spécialité, ce qui améliore le niveau de jeu ou de performance sur le long terme.

Cela est-il approprié pour les novices ?

La chasteté peut favoriser la discipline chez certains novices, mais elle ne doit pas se substituer à un programme de préparation physique organisé ; elle doit être testée sur de courtes durées et évaluée de manière objective.

Interactions physiologiques entre la chasteté et l’entraînement sportif.

Plusieurs explications physiologiques ont été proposées pour éclairer comment la chasteté pourrait affecter l’entraînement. La première concerne les hormones sexuelles, notamment la testostérone. Certaines études décrivent une légère augmentation de la testostérone après une brève abstinence, mais ces fluctuations semblent éphémères et insuffisantes pour provoquer des gains musculaires ou de performance durables. À l’opposé, des facteurs tels que l’alimentation, la charge d’entraînement et le sommeil de qualité ont un impact plus fort et durable sur le profil hormonal et l’adaptation musculaire. Un deuxième mécanisme potentiel réside dans l’économie d’énergie mentale et comportementale : pour certains, l’abstinence pourrait diminuer les préoccupations émotionnelles et la distraction avant des moments clés, permettant ainsi une meilleure concentration sur l’entraînement et la compétition. De même, si la chasteté réduit l’anxiété pré-compétitive chez un athlète, elle peut également améliorer indirectement la qualité du sommeil et la récupération, ce qui favorise l’adaptation. De plus, la périodicité hormonale et la réponse au stress varient d’un individu à l’autre ; certains peuvent avoir une sensibilité accrue entraînant des effets perceptibles, tandis que d’autres ne remarqueront aucune différence. Dans la réalité, l’impact physiologique direct de la chasteté sur la charge d’entraînement et l’adaptation musculaire vient s’ajouter aux méthodes habituelles (progression de la charge, consommation de protéines, récupération).

Pour cette raison, la chasteté, si elle est appliquée, doit être intégrée dans une approche globale qui prend en compte la gestion des autres axes de préparation, comme la condition physique, le sommeil et la santé mentale. Elle doit être encadrée par un coach spécialisé, indépendant du staff, en contact direct avec l’athlète.

Impacts psychologiques et comportementaux

En matière psychologique, la chasteté peut engendrer des effets opposés. Toutefois, elle est pertinente dans le cadre de l’effort et du sacrifice nécessaires pour atteindre la performance. Pour la majorité des athlètes, l’abstinence est perçue comme un acte de discipline qui renforce la focalisation, la motivation et la régularité de leur entraînement. Cette dynamique comportementale peut se traduire par une plus grande assiduité aux entraînements, une régularité améliorée et une attention accrue à la récupération, des facteurs propices à l’avancement. Dans une phase précédant la compétition, l’élimination des préoccupations sexuelles peut diminuer les sources de distraction et aider à maîtriser la tension émotionnelle. En revanche, l’abstinence peut aussi provoquer une frustration ou une charge psychologique additionnelle qui pourrait améliorer la performance. Les variations individuelles sont liées au tempérament, aux convictions personnelles et à l’environnement social. Un exemple pratique pertinent est le protocole suivant pour un athlète amateur préparant une compétition : envisager une période test de quatre semaines durant laquelle l’athlète tient un journal quotidien de sommeil, d’humeur, de RPE et des performances aux exercices clés. En confrontant ces informations, il devient possible d’évaluer si la chasteté présente des avantages, tant sur le plan subjectif qu’objectif.

Les retours d’expérience d’entraîneurs et d’athlètes de haut niveau soulignent souvent que l’effet est majoritairement psychologique, dépendant des sensations individuelles plutôt que de mécanismes physiologiques communs.

Les analyses scientifiques mettent en avant le lien entre la chasteté et la performance des sportifs

Les études scientifiques sur l’effet de l’abstinence sexuelle sur la performance des athlètes sont limitées et souvent en désaccord. Les recherches disponibles sont souvent de petite échelle, parfois anciennes, et mélangent des populations variées (hommes et femmes, sportifs et non-sportifs). Les études révèlent que les variations de testostérone liées à l’activité sexuelle sont généralement faibles et transitoires ; il n’y a pas de preuves convaincantes d’un impact durable sur les capacités physiques, alors que des facteurs psychologiques sont principalement observés chez les hommes. D’autres recherches se concentrent sur les impacts psychologiques et comportementaux, mais il est ardu de généraliser ces résultats. Il est donc essentiel de différencier corrélation et causalité : les améliorations de performance chez certains sportifs pratiquant l’abstinence peuvent résulter d’un effet placebo, d’une attention renforcée à la récupération, ou de modifications dans leur sommeil et leur nutrition. Dans la pratique, il est recommandé d’adopter une approche individualisée : si un athlète souhaite explorer la chasteté comme outil, il doit le faire dans un cadre structuré, en notant systématiquement les indicateurs pertinents (qualité du sommeil, humeur, charges d’entraînement, RPE, performances mesurables) et en comparant des périodes avec et sans abstinence. Les entraîneurs et les professionnels de la santé peuvent aider à analyser les résultats et à éviter des répercussions psychologiques ou physiologiques indésirables. Il est également crucial de noter que des éléments bien établis — comme la nutrition, le sommeil, la surcharge d’entraînement et la périodisation — ont un impact bien plus documenté et significatif sur la performance que toute méthode d’abstinence.

Ce qui est manifeste, c’est que de nombreux athlètes mentionnent des améliorations concrètes dans leur préparation sportive en lien avec la chasteté. La chasteté masculine contrôlée est donc une discipline émergente, fondée sur l’expertise des entraîneurs spécialisés et, dans le futur, après des recherches scientifiques, elle sera intégrée à la préparation physique.

Voici le lien pour voir la vidéo sur YouTube :
le post original: Cliquer ici

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Retranscription des paroles de la vidéo: Dans cette vidéo, je vais t’aider à organiser une séance de sprint lorsque tu es débutant et que tu veux intégrer cet exercice incroyable dans tes entraînements. Que tu es des objectifs physiques, que tu veilles prendre du muscle ou encore perdre du gras, que ça soit pour améliorer tes performances sportives, améliorer ta condition physique, ton explosivité, ta vitesse, le sprint est l’exercice le plus complet qui puisse exister sur terre. J’ai fait une vidéo à ce sujet, n’hésite pas à aller la voir. Mais aujourd’hui, je vais t’expliquer de A à Z comment intégrer les sprints dans tes routines d’entraînement. Tout d’abord, tu dois éviter cette erreur que font la plupart des débutants, c’est-à-dire de faire des sprints à 100 % dès le début en pointe sur piste. Sprinter est l’activité la plus intense que le corps humain puisse réaliser. Qui dit grosse intensité dit gros risque de blessure si ton corps n’y est pas préparé. Avant de mettre de l’intensité, tu dois d’abord habituer ton corps à tolérer du volume. Pour cela, il n’y a rien de mieux que les tempo run pour intégrer tranquillement les sprints dans tes entraînements, c’est-à-dire des cours sur des allures qui se situent entre 70 à 90 % de ta vitesse maximale. Tu vas pouvoir te concentrer sur ta technique de course, mais surtout mettre du relâchement et de la fluidité lorsque tu sprintes. Je te recommande également d’utiliser les sprints en côte afin de limiter les impacts au sol lorsque tu débutes. En effet, le fait de courir sur un plan incliné t’oblige à produire plus de force horizontale et moins de force verticale, ce qui met moins de pression sur tes isques que jambiers et la plupart des blessures en sprint proviennent de ces derniers. Donc ça va protéger tes isquos, accentuer le travail sur tes quadriceps et tes fessiers et ça va également améliorer ta puissance et ton endurance musculaire. Je te recommande de trouver une code qui se situe entre 80 à 150 m, cela dépend de ton niveau, et de réaliser deux séries qui se situent entre 6 à 10 sprints avec 1 minute 30 à 2 minutes de récupération entre les sprints et 3 à 5 minutes entre les deux séries. Les temps de récupération sont relativement courts car n’oublie pas, on n’est pas sur une séance de vitesse pure mais sur une séance de tempo run. Le but primaire, c’est d’habituer ton corps à tolérer du volume sur des sprints et à te construire une bonne condition physique dans un premier temps. Tu peux également réaliser tes séances de tempoun sur piste, mais n’oublie pas de rester sur des allures qui se situent entre 70 à 90 % de ta vitesse maximale. Ne va pas au-delà au début. Toujours pareil, sur les distances, tu vas rester entre 80 à 150 m. Et pour les temps de récupération sur les séances de pistes, je te conseille de rester entre 1 minute 30 à 3 minutes de récupes et 3 à 6 minutes de récupération entre les séries. Tu vas prendre un peu plus de récupération sur les séances de pistes car tu vas plus vite que sur les séances de côte. En effet, sur une piste en tartant, il y a beaucoup de renvoi au sol, ce qui certes te fait aller plus vite mais ce qui me met également plus de stress sur les muscles, les tendons, les articulations et cetera. C’est pour ça que je te laisse une marge jusqu’à 3 minutes de récupération entre les sprints pour les séances de piste. Réalise deux à trois séances de tempo run par semaine durant un mois. Au bout d’un mois, tu vas pouvoir tranquillement ajouter des sprints à intensité maximale. Mais pour commencer, tu vas utiliser des distances très courtes allant de 10 à 30 m. Pourquoi tu vas commencer par des distances courtes ? Car elles favorisent le développement de l’accélération. Et lorsque tu accélères, la majeure partie de la force est produite horizontalement, ce qui met plus l’accent sur les mollets, fessiers et quadriceps. Même principe que sur les sprint en code. Ça sollicite moins tesig que jambiers, donc ça réduit le risque de blessure sur ces derniers. Et au fur et à mesure des semaines, tu vas pouvoir allonger la distance de tes sprints. Mais n’oublie pas d’être progressif dans tout ce que tu fais. Donc lorsque tu vas commencer à faire des sprints à 100 %, d’abord commence sur des distances très courtes et au fur et à mesure des semaines, tu vas pouvoir augmenter les distances. Ce que je te recommande de faire, c’est de réaliser une séance d’accélération par semaine, donc d’utiliser des distances qui se trouvent entre 0 à 30 m. Tu vas pouvoir caler une deuxième séance de vitesse maximale en sprintant sur des distances qui vont de 30 à 60 m. Et enfin, pour finir la semaine, je mettrai une petite séance de tempo run afin de conserver une bonne condition physique. Sur les deux séances de sprint qui ont prévelopper ton accélération et ta vitesse maximale, tu vas prendre des temps de récupération complet, donc 1 minute par 10 m. Si tu fais un sprint de 40 m, tu récupères 4 minutes. La distance parcourue durant la séance ne doit pas dépasser les 500 m car tu dois rester sur un travail de qualité et éviter l’excès de fatigue. Et pour la séance de tempo run, je t’ai déjà dit comment l’organiser. Et après, libre à toi de modifier ce plan d’entraînement en fonction de tes objectifs. Je t’ai résumé en moins de 5 minutes comment intégrer les sprints dans tes entraînements afin d’en tirer un maximum d’avantage. Si tu as des questions, n’hésite pas à me les poser en commentaire et si tu veux aller plus loin, tu peux réserver ton coaching offert de 30 minutes où je vais t’aider à atteindre tous tes objectifs physiques et sportifs. Pour cela, tu as juste à cliquer sur le lien dans la description. J’espère que cette vidéo t’a aidé et on se dit à la prochaine. C’était Enzo. Bisous. M. .

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Déroulement de la vidéo:

0.359 Dans cette vidéo, je vais t’aider à
2.12 organiser une séance de sprint lorsque
3.679 tu es débutant et que tu veux intégrer
5.44 cet exercice incroyable dans tes
7.2 entraînements. Que tu es des objectifs
8.599 physiques, que tu veilles prendre du
9.88 muscle ou encore perdre du gras, que ça
11.639 soit pour améliorer tes performances
13.28 sportives, améliorer ta condition
14.639 physique, ton explosivité, ta vitesse,
16.72 le sprint est l’exercice le plus complet
18.4 qui puisse exister sur terre. J’ai fait
19.92 une vidéo à ce sujet, n’hésite pas à
21.359 aller la voir. Mais aujourd’hui, je vais
22.76 t’expliquer de A à Z comment intégrer
24.599 les sprints dans tes routines
25.88 d’entraînement. Tout d’abord, tu dois
27.439 éviter cette erreur que font la plupart
28.88 des débutants, c’est-à-dire de faire des
30.4 sprints à 100 % dès le début en pointe
33.04 sur piste. Sprinter est l’activité la
34.84 plus intense que le corps humain puisse
36.76 réaliser. Qui dit grosse intensité dit
39.12 gros risque de blessure si ton corps n’y
40.76 est pas préparé. Avant de mettre de
42.2 l’intensité, tu dois d’abord habituer
43.96 ton corps à tolérer du volume. Pour
45.879 cela, il n’y a rien de mieux que les
47.68 tempo run pour intégrer tranquillement
49.399 les sprints dans tes entraînements,
50.719 c’est-à-dire des cours sur des allures
52.16 qui se situent entre 70 à 90 % de ta
55.0 vitesse maximale. Tu vas pouvoir te
56.64 concentrer sur ta technique de course,
58.48 mais surtout mettre du relâchement et de
60.44 la fluidité lorsque tu sprintes. Je te
62.44 recommande également d’utiliser les
63.879 sprints en côte afin de limiter les
65.68 impacts au sol lorsque tu débutes. En
67.72 effet, le fait de courir sur un plan
69.4 incliné t’oblige à produire plus de
71.2 force horizontale et moins de force
72.96 verticale, ce qui met moins de pression
74.68 sur tes isques que jambiers et la
75.92 plupart des blessures en sprint
77.24 proviennent de ces derniers. Donc ça va
79.0 protéger tes isquos, accentuer le
80.439 travail sur tes quadriceps et tes
81.759 fessiers et ça va également améliorer ta
84.36 puissance et ton endurance musculaire.
85.92 Je te recommande de trouver une code qui
87.32 se situe entre 80 à 150 m, cela dépend
90.079 de ton niveau, et de réaliser deux
92.32 séries qui se situent entre 6 à 10
94.759 sprints avec 1 minute 30 à 2 minutes de
97.2 récupération entre les sprints et 3 à 5
99.68 minutes entre les deux séries. Les temps
101.2 de récupération sont relativement courts
102.88 car n’oublie pas, on n’est pas sur une
104.04 séance de vitesse pure mais sur une
105.52 séance de tempo run. Le but primaire,
107.119 c’est d’habituer ton corps à tolérer du
108.799 volume sur des sprints et à te
110.36 construire une bonne condition physique
111.799 dans un premier temps. Tu peux également
113.24 réaliser tes séances de tempoun sur
115.079 piste, mais n’oublie pas de rester sur
116.759 des allures qui se situent entre 70 à 90
119.399 % de ta vitesse maximale. Ne va pas
121.28 au-delà au début. Toujours pareil, sur
123.119 les distances, tu vas rester entre 80 à
125.32 150 m. Et pour les temps de récupération
127.119 sur les séances de pistes, je te
128.599 conseille de rester entre 1 minute 30 à
130.879 3 minutes de récupes et 3 à 6 minutes de
133.92 récupération entre les séries. Tu vas
135.56 prendre un peu plus de récupération sur
137.0 les séances de pistes car tu vas plus
138.64 vite que sur les séances de côte. En
140.36 effet, sur une piste en tartant, il y a
141.879 beaucoup de renvoi au sol, ce qui certes
143.76 te fait aller plus vite mais ce qui me
145.28 met également plus de stress sur les
146.879 muscles, les tendons, les articulations
148.48 et cetera. C’est pour ça que je te
149.519 laisse une marge jusqu’à 3 minutes de
151.0 récupération entre les sprints pour les
152.76 séances de piste. Réalise deux à trois
154.959 séances de tempo run par semaine durant
157.2 un mois. Au bout d’un mois, tu vas
158.84 pouvoir tranquillement ajouter des
160.239 sprints à intensité maximale. Mais pour
162.239 commencer, tu vas utiliser des distances
164.08 très courtes allant de 10 à 30 m.
166.48 Pourquoi tu vas commencer par des
167.519 distances courtes ? Car elles favorisent
168.959 le développement de l’accélération. Et
170.48 lorsque tu accélères, la majeure partie
172.08 de la force est produite
173.44 horizontalement, ce qui met plus
174.8 l’accent sur les mollets, fessiers et
176.959 quadriceps. Même principe que sur les
178.56 sprint en code. Ça sollicite moins tesig
180.48 que jambiers, donc ça réduit le risque
182.08 de blessure sur ces derniers. Et au fur
183.64 et à mesure des semaines, tu vas pouvoir
185.239 allonger la distance de tes sprints.
187.28 Mais n’oublie pas d’être progressif dans
188.92 tout ce que tu fais. Donc lorsque tu vas
190.44 commencer à faire des sprints à 100 %,
192.12 d’abord commence sur des distances très
193.76 courtes et au fur et à mesure des
195.0 semaines, tu vas pouvoir augmenter les
196.72 distances. Ce que je te recommande de
198.04 faire, c’est de réaliser une séance
199.519 d’accélération par semaine, donc
201.4 d’utiliser des distances qui se trouvent
203.08 entre 0 à 30 m. Tu vas pouvoir caler une
205.56 deuxième séance de vitesse maximale en
208.0 sprintant sur des distances qui vont de
209.76 30 à 60 m. Et enfin, pour finir la
212.239 semaine, je mettrai une petite séance de
213.76 tempo run afin de conserver une bonne
215.68 condition physique. Sur les deux séances
217.4 de sprint qui ont prévelopper ton
218.959 accélération et ta vitesse maximale, tu
220.879 vas prendre des temps de récupération
222.28 complet, donc 1 minute par 10 m. Si tu
224.4 fais un sprint de 40 m, tu récupères 4
226.64 minutes. La distance parcourue durant la
229.08 séance ne doit pas dépasser les 500 m
230.959 car tu dois rester sur un travail de
232.4 qualité et éviter l’excès de fatigue. Et
234.64 pour la séance de tempo run, je t’ai
236.04 déjà dit comment l’organiser. Et après,
237.92 libre à toi de modifier ce plan
239.28 d’entraînement en fonction de tes
240.84 objectifs. Je t’ai résumé en moins de 5
242.72 minutes comment intégrer les sprints
244.12 dans tes entraînements afin d’en tirer
245.64 un maximum d’avantage. Si tu as des
247.12 questions, n’hésite pas à me les poser
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