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sur l’art de la chasteté.

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Instruments pour les hommes et les femmes : La lutte contre la masturbation et les premiers outils de chasteté.

Pendant l’époque victorienne, la masturbation était vue comme un risque majeur pour la santé corporelle et psychologique. Les recommandations des médecins et moralistes de l’époque incluaient des mesures strictes pour prévenir ce qu’ils qualifiaient « d’auto-abus ». Cette dynamique a mené à l’élaboration et à l’emploi de dispositifs de chasteté pour les hommes et les femmes. Aujourd’hui, la chasteté est suivie avec des objectifs divers, et un accompagnement adapté est accessible grâce aux services de coaching (c’est le cas de le leader de la chasteté pour homme)

Techniques associées à la chasteté masculine contrôlée :

Les périodes de la Grèce et de la Rome anciennes.

Dans les sociétés grecque et romaine, la chasteté était fréquemment liée à la pureté et à la vertu. Toutefois, elle n’était pas couramment imposée par des moyens physiques tels que des ceintures de chasteté. La chasteté se basait plutôt sur des idées spirituelles et religieuses. Les Vestales, prêtresses vouées à Vesta, devaient demeurer vierges au risque de mourir. Il s’agit d’un exemple significatif de la manière dont la chasteté était institutionnalisée.

L’Égypte ancienne est considérée comme l’une des civilisations les plus marquantes de l’histoire.

En Égypte antique, la chasteté était un choix personnel fait par les prêtres et prêtresses. Ils pensaient que l’abstinence rendait leur pouvoir spirituel plus fort. Il n’existe pas de preuves matérielles prouvant l’usage de moyens physiques pour assurer la chasteté. Le contrôle de la sexualité était plutôt une question de maîtrise personnelle. Les coutumes spirituelles avaient également une influence sur le contrôle de la sexualité.

La morale médiévale reposait souvent sur la notion de chasteté. La chasteté était un outil au service du pouvoir pour renforcer l’ordre établi.

Dans de nombreuses cultures, la chasteté des femmes était associée à la foi religieuse.

Au Moyen Âge, la chasteté féminine était un symbole de vertu et de moralité. La virginité pré-mariage et la fidélité post-mariage étaient des qualités très valorisées et soutenues par l’Église. La pureté familiale était une responsabilité des femmes, et la chasteté servait à maintenir la légitimité des héritiers.

Les croisades ont profondément influencé les pratiques de chasteté des chevaliers.

Avant de se lancer dans les croisades, les chevaliers prenaient fréquemment des vœux de chasteté, pensant que cela fortifiait leur pureté spirituelle et morale pour mieux servir Dieu dans la reconquête de Jérusalem.

Les communautés monastiques imposaient des règles rigoureuses sur la chasteté à leurs membres.

Les ordres monastiques médiévaux, comme les bénédictins, les cisterciens et les chevaliers teutoniques, se caractérisaient par des vœux de chasteté rigoureux. Les vœux de chasteté des religieux médiévaux étaient vus comme une forme de renoncement aux plaisirs mondains pour atteindre une plus grande pureté spirituelle. Les récits de la période médiévale soulignent l’importance de la chasteté dans les aspects religieux, moraux, et sociaux de la vie. La chasteté, qu’elle soit symbolisée par des ceintures légendaires, des engagements solennels avant les croisades, ou des batailles personnelles contre la tentation, était au cœur d’un mysticisme et d’une dévotion intenses. Ces anecdotes révèlent comment la chasteté a été employée pour exercer un contrôle, affirmer le pouvoir, et poursuivre un idéal spirituel dans un monde où le corps et l’âme étaient souvent en désaccord.

On croit souvent, à tort ou à raison, que les ceintures de chasteté étaient courantes au Moyen Âge. Les faits historiques montrent une réalité différente.

La ceinture de chasteté est souvent attribuée à la période médiévale. En réalité, cette idée provient de mythes apparus à la fin de la période médiévale. La tradition veut que les croisés aient enfermé leurs femmes dans des ceintures de chasteté. Ces objets avaient pour but de s’assurer de la fidélité des épouses des croisés. Les écrits et les images ont largement participé à la propagation de cette légende. Il n’y a que peu de preuves historiques pour appuyer l’existence de cette pratique.

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