Besançon Il tentait d’obtenir des photos d’adolescentes nues : un an de prison avec sursis

Les faits sont anciens, mais ils témoignent d’une sexualité déviante et d’un attrait pour les jeunes femmes. Ce mercredi, le prévenu, conseillé par Me   Vernier-Signorini, est venu à la barre, pour répondre de ses actes. À l’époque, il avait 18 ans et il multipliait les messages pour tenter d’obtenir des photos d’adolescentes dénudées.

Les plaintes ont été déposées en 2018 et 2019. Dans leurs dépositions, les victimes ont évoqué un mode opératoire similaire : un individu les a contactées via l’application Snapchat. Dans ses messages, l’homme a demandé à ces jeunes filles de se dévêtir et de lui faire parvenir des clichés. Des messages insistants où il a répété ses demandes. Face aux refus catégoriques de ses interlocutrices, l’homme n’a pas hésité à envoyer des photos de son sexe.

Du chantage auprès de la sœur d’une victime

L’une de ces mineures, âgée de 12 ans, a fini par bloquer l’intrus. Le prévenu a alors contacté sa sœur en la menaçant : « Si elle ne me débloque pas, j’enverrai des photos de ta sœur nue à ses camarades de classe. » Lors de la rentrée scolaire 2018, la victime a appris que quatre photographies représentant des corps de femmes dévêtues avaient été envoyées aux collégiens. Une plainte a été déposée et l’enquête a permis d’identifier ce suspect.

Au total, les gendarmes ont recensé six victimes, âgées de 12 à 16 ans. En garde à vue, l’auteur a nié les accusations. « Il a simplement reconnu un échange de photographies dénudées avec une seule de ses victimes en précisant qu’il était mineur. » Six ans plus tard, il a changé de positionnement et a reconnu l’intégralité des faits.

Une « hyperactivité sexuelle »

L’expertise psychiatrique menée en octobre 2024 fait état d’une « hyperactivité sexuelle ». « L’infraction reprochée au sujet est en relation avec un attrait important pour la sexualité. Au moment de la commission des faits, je ne retiens aucun trouble mental ayant pu abolir ou altérer son discernement », relève l’expert. « Cette addiction traduit une souffrance physique probable et l’évolution doit être surveillée. »

À l’issue des délibérations, l’homme a été condamné à un an de prison avec sursis. Il a été inscrit au fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (FIJES). En outre, il a désormais l’interdiction d’effectuer une activité en lien avec des mineurs.

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